L’Agenda 2030 de l’ONU est un plan du Nouvel Ordre Mondial pour asservir l’humanité sous couvert de « développement durable » et d’« égalité ».

Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a prononcé un discours sur l’état de la nation au début du mois à Budapest.

Rairfoundation.com rapporte : Malgré la mise en place par le gouvernement d’Orbán de mesures non scientifiques de confinement de Covid et la promotion de « vaccins » expérimentaux, il a une fois de plus démontré qu’il avait raison sur d’autres questions importantes, notamment la propriété privée, l’importance de la culture traditionnelle et la nécessité de résister à la prochaine crise que les Nations unies (ONU) et le Forum économique mondial (FEM) vont provoquer d’ici à 2030.

Agenda 2030

À la fin de son discours de plus d’une heure (dont des extraits ont été traduits par la Fondation RAIR USA ci-dessous), le Premier ministre Orbán tente de mettre en garde les citoyens contre la Grande Réinitialisation du WEF et l’Agenda 2030 (anciennement Agenda 21) parallèle des Nations Unies. Ils prévoient de transformer le monde – où la propriété est obsolète, la vie privée est inexistante, et leurs organisations mondialistes parviennent à un contrôle total. Orbán a souligné l’importance de préparer son pays à leur prochain « test de stress sérieux, bien plus important que cette pandémie » :

…[E]n 2030, il y aura toutes sortes de grands changements dans le monde, dont je n’ai pas le temps de parler maintenant, mais de l’Amérique à l’Union européenne, beaucoup de choses vont se passer.

Cette période autour de 2030 sera une épreuve pour toutes les nations et les mettra à rude épreuve, bien plus que cette pandémie.

D’ici à 2030, notre nation, notre communauté nationale, y compris son économie, doit être en mesure de relever ces défis et même de les utiliser pour prospérer ! Voilà ce qui nous attend…

Un contexte plus large

Dans son discours, M. Orbán a évoqué l’importance de la relation entre le gouvernement et la Chambre. Il a souligné que pour atteindre la prospérité future et un avantage concurrentiel régional hongrois d’ici 2030, la Chambre et le gouvernement avaient besoin de l’accord qui devait être signé entre les deux parties ce jour-là :

…Je serai donc ravi de signer cet accord, et je suis sûr que cet accord [soutiendra] notre grand objectif stratégique national d’une croissance économique de deux à trois pour cent supérieure au taux de l’Union européenne chaque année, et alors que les économies européennes stagnent et baissent, nous devons nous engager sur une trajectoire ascendante ; et autour de 2030, quand il y aura toutes sortes de grands changements dans le monde, dont je n’ai pas le temps de parler maintenant, mais de l’Amérique à l’Union européenne, beaucoup de choses vont se passer.

Cette période autour de 2030 sera une épreuve pour toutes les nations et les mettra à rude épreuve, bien plus que cette pandémie.

D’ici à 2030, notre nation, notre communauté nationale, y compris son économie, doit être en mesure de relever ces défis et même de les utiliser pour prospérer ! C’est ce qui nous attend.

Pour cela, nous avons besoin d’un accord, un accord comme celui que nous sommes sur le point de signer. Et si nous pouvons respecter cet accord au cours des dix prochaines années, d’ici 2030, nous aurons atteint le niveau de développement moyen de l’Union européenne, nous aurons des capacités de défense, nous aurons des universités remarquables, nous aurons un avantage technologique dans la région par rapport aux autres ; et avec un bon leadership politique, nous pouvons combiner ces éléments pour créer un avantage concurrentiel national hongrois, non seulement dans la région mais aussi au-delà. Je vous souhaite force et bonne santé pour cela.

Je vous remercie de votre patience et d’avoir écouté mon long discours.

Agenda 2030

La plupart des médias ont ignoré la partie du discours du Premier ministre Orbán qui fait allusion à l’« Agenda 2030«  de l’ONU, un projet fasciste de gouvernement et d’entreprise. Dans les années 1990, les Nations unies ont rédigé l’« Agenda 21 », leur soi-disant plan pour vaincre le « changement climatique ». En 2015, il a été rebaptisé par les socialistes en « Agenda 2030 », qui n’avait rien à voir avec le « réchauffement climatique » et tout à voir avec le remodelage de notre monde selon leur vision socialiste. Puis, l’année dernière, l’Agenda 2030 ne concernait pas seulement le changement climatique, mais un plan directeur pour le soi-disant « développement durable«  dans le monde entier.

Ce document ne décrit rien de moins qu’une prise de contrôle par un gouvernement mondial de chaque nation de la planète. Les 17 « objectifs » déclarés de l’Agenda 2030 sont des mots codés pour un programme fasciste gouvernemental et corporatif qui emprisonnera l’humanité dans un cycle dévastateur de pauvreté tout en enrichissant les entreprises et les individus mondialistes les plus puissants du monde.

La Hongrie se protège contre l’Agenda 2030

Plus encore que celle de la plupart des nations européennes, l’histoire de la Hongrie a été une lutte pour la liberté. Au cours du siècle dernier, la Hongrie a dû lutter contre les Turcs islamiques ottomans, les nazis et les communistes. Par conséquent, les Hongrois n’aiment généralement pas l’idée de se sacrifier pour les mondialistes qui cherchent à changer les normes et les coutumes de la société.

Pour que les Hongrois se protègent contre la prise de pouvoir communiste des mondialistes, M. Orbán exhorte les citoyens à rejeter toutes les politiques économiques socialistes,

La première chose, et la plus importante, est que je ne veux faire aucune concession en faveur d’une quelconque politique économique socialiste. Ce n’est pas seulement que nous sommes politiquement anticommunistes – c’est une histoire. Mais nous nous opposons aussi explicitement à toute approche communiste, socialiste, de la politique économique. C’est plus qu’une idée économique, c’est une conviction philosophique, et j’ai vécu sous le régime précédent pendant 26 ans…,

En outre, le dirigeant hongrois exhorte les citoyens à posséder une propriété privée, ce qui protégera les citoyens de l’agenda mondialiste 2030, où « vous ne possédez rien, n’avez aucune vie privée, et la vie n’a jamais été aussi belle ».

Je crois que la propriété privée a le pouvoir de créer une culture. Et elle crée une bonne culture, une culture sur laquelle une bonne vie peut être construite, et sur laquelle, une nation peut construire son propre avenir. Par conséquent, notre base reste la propriété privée.

Nous voulons que les gens aient leurs propres maisons, leurs propres économies, leurs propres terres, leurs propres jardins, leurs propres outils. Nous sommes convaincus que cela n’est pas seulement bon pour l’économie, mais que cela renforce également la culture de prendre soin des choses et donc de nos propres vies.

Si vous possédez quelque chose, vous devez en prendre soin. Et cela conduit à un comportement culturel différent de celui qui consiste à vivre en permanence dans la maison de quelqu’un d’autre, à vivre de l’argent de quelqu’un d’autre, et votre horizon temporel est plus court.

Si vous possédez un bien, vous devez réfléchir à ce que vous allez en faire à moyen et long terme ; vous ne pouvez pas vous contenter de vivre au jour le jour. Et la propriété privée est la seule chose qui peut vous aider à surmonter la mauvaise habitude de toujours rechercher l’argent facile. L’argent facile s’appelle le crédit.

C’est donc uniquement la propriété privée qui freine l’instinct humain d’emprunter sans limites, car vous savez que si vous empruntez trop, vous perdrez votre richesse. C’est aussi simple que cela ; sinon, tout le monde est heureux d’emprunter de l’argent facile. Je tiens simplement à dire que le gouvernement, s’il reste en fonction, soutiendra explicitement et fermement la propriété privée, par conviction philosophique.

L’Agenda 2030 de l’ONU n’est rien d’autre qu’une tyrannie gouvernementale mondiale qui asservit toute l’humanité tout en appelant ce plan « développement durable » et « égalité ». Ils ne veulent pas que les individus possèdent quoi que ce soit. Au contraire, ils veulent que les individus comptent sur eux pour subvenir à leurs besoins. Orbán est l’un des rares dirigeants européens à tenter de protéger sa nation contre une prise de contrôle par les technocrates.

Regardez l’extrait suivant du discours sur l’état de la nation prononcé par le Premier ministre hongrois Viktor Orbán :

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