Note Flo : Pour pouvoir résoudre nos problèmes, encore faut-il déjà commencer par identifier la source à l’origine de ceux-ci.
Il y a tellement de « groupes », d’ »ordres », de « sociétés secrètes » et de « lignées familiales » qui tombent sous l’égide de l’État Profond globaliste que je suppose que le terme « État Profond » est utile comme terme général.
Ces groupes / gangs sont aussi parfois désignés comme les « syndicats » des gouvernements terriens secrets. Ceux qui sont fortement « ésotériques » et les « groupes religieux fanatiques » sont souvent désignés sous le nom collectif d’ »Illuminati », même s’il existe de nombreux groupes différents avec des programmes et des systèmes de croyance différents.
Certains de ces groupes occultes, ici sur la planète, sont des humains persuadés qu’ils descendent d’une lignée non terrestre, et que nous provenons tous d’une lignée polluée sans aucune valeur, et que nous devrions être tous éliminés.
Le svastika nazi, par exemple, a été modelé sur le logo de la société Thulé, montrant l’influence de cette société secrète sur Hitler et l’émergence du nazisme.
À l’heure actuelle, ils sont tous en train de jouer des coudes pour contrôler le récit et la diffusion d’informations qui les font apparaître sous un mauvais jour.
Ils effectuent d’énormes campagnes de désinformation et abandonnent d’autres groupes avec lesquels ils avaient l’habitude de s’entendre/travailler pour sauver leur peau (Exemple : opération QAnon).
Ce barrage/campagne de désinformation ne fait que s’intensifier. Elle va égarer quelques personnes crédules pendant une courte période, mais lorsque plus de données seront divulguées, exposant tous leurs crimes individuels contre l’humanité, et que de plus en plus de consciences s’éveilleront, tout leur travail n’aura servi à rien.
Une partie de l’équation de leur campagne consiste également à manipuler la conscience de masse humaine et ses capacités de co-création dans leurs tactiques de « magie noire » qu’ils utilisent depuis un certain temps pour essayer d’utiliser la conscience de masse de l’humanité comme un outil pour créer un résultat plus favorable pour eux. Cela aussi est voué à l’échec.
Ils sont livrés à eux-mêmes, abandonnés par les êtres qu’ils vénéraient et qu’ils considéraient comme tout puissants. Ils rassemblent leurs wagons dans leurs cellules « famille », « ordre » et « groupe » pour se battre jusqu’à la fin. Ce sont les zélotes qui croient que leur sacrifice personnel forcera la main d’êtres négatifs tout aussi puissants à se manifester et à faire en sorte que leurs rêves et plans maléfiques deviennent réalité.
Ils sont plus fervents et plus zélés dans leurs croyances religieuses que n’importe laquelle des grandes religions connues dont on se moque si souvent.
Tous ces groupes ont en commun de pousser pour la gouvernance mondiale, avec eux à sa tête.
Entrons maintenant dans le vif du sujet.
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Au sujet de mon travail d’analyse du comportement et des motivations des globalistes, j’entends souvent les gens remettre en question la validité de l’étiquette. Parfois, cela est fait par ceux qui n’ont aucune éducation sur le contexte de ce que je ne peux qu’appeler une cabale organisée ou un syndicat du crime. Parfois, ce sont des gens malhonnêtes qui cherchent à semer le doute.
Pour être clair, oui, les globalistes sont un groupe très réel avec un agenda très réel, et cet agenda n’est pas moralement ou rationnellement sain. L’argument se pose alors : « Si les globalistes sont une menace réelle, alors nous devons les identifier un par un… »
Cet argument est souvent une ruse qui insinue que si une personne souligne les faits entourant un crime de la part de globalistes, sa position n’est toujours pas optimale tant qu’elle ne les nomme pas tous un par un. C’est une tactique classique d’Alinsky ; exiger du chercheur qu’il répertorie toutes les personnes impliquées dans une conspiration ou qu’il présente une solution parfaite à la criminalité qui peut ou non être disponible, sinon il devrait se taire et arrêter de parler du problème. L’intention est de nous prendre au piège d’un débat sans fin sur l’étendue de la question de savoir qui est impliqué ou si une solution est supérieure à une autre.
Reconnaître l’existence d’un agenda précis est la première étape avant de pouvoir accomplir quoi que ce soit d’autre.
Évidemment, on ne peut pas dresser une longue liste de noms de globalistes dans chaque essai ou article. Cela rendrait chaque article trop long et cela serait contre-productif. Nommer des gens pourrait être utile dans certaines circonstances, comme je l’ai fait dans le passé, par exemple dans mon article « La désinformation globaliste sous les feux de la rampe – Mohamed El-Erian ». J’invite les lecteurs à examiner cet article, car El-Erian est un bon exemple de ce qu’est un globaliste et du type d’idéologie qu’il adopte. J’ai cependant le sentiment qu’il est plus important de se concentrer sur les comportements, la rhétorique, les affiliations institutionnelles et les croyances des globalistes, parce que ces élitistes se cachent souvent au grand jour.
Tous ne se qualifient pas publiquement de « globalistes » ; certains d’entre eux le font. Cependant, ils ont TOUS les mêmes traits de caractère et ils appuient tous les mêmes objectifs.
Il est important de noter qu’il y a un effort concerté de désinformation de la part d’un petit groupe de personnes qui rôdent dans les recoins du Mouvement pour la liberté afin de promouvoir l’idée que le globalisme est une « conspiration purement juive ». Et, à mesure que nos structures sociales et économiques deviennent de plus en plus instables, les gens cherchent des réponses faciles et l’idée commence à prendre de l’ampleur. Leur revendication ? Tout tourne autour des Juifs, tous les globalistes sont juifs ou sont secrètement liés aux Juifs ou sont mariés à des partenaires juifs, etc. C’est tout simplement faux, alors mettons les choses au clair …
Le récit de la conspiration juive, je crois, est une guerre de quatrième génération, une opération psychologique, une tentative de détourner les militants du Mouvement pour la liberté d’une question beaucoup plus profonde et sombre. Il peut aussi s’agir d’une tentative de rattacher le mouvement à l’idéologie de la suprématie blanche ou à des groupes identitaire blancs comme s’ils étaient interchangeables. Franchement, je me fiche de ce que les autres croient tant qu’ils restent entre eux et laissent les autres tranquilles. Si quelqu’un est particulièrement fier de sa pigmentation ou de sa culture, je lui souhaite bonne chance. Il est vrai que certaines cultures fonctionnent mieux que d’autres, mais cela a beaucoup plus à voir avec le fait que les cultures supérieures sont plus libres.
Ce n’est pas parce que nous avons un dégoût pour ceux qui baignent dans la haine des Blancs ou de la culture occidentale affichées par une certaine gauche avec ses « guerriers de la justice sociale », que nous devons aller à l’autre extrême et devenir nous-mêmes des fanatiques. En fait, je pense que la capacité de faire de la discrimination est parfois très utile, mais de telles divisions simplistes fondées sur des préjugés et des généralisations nous rendent faibles, pas forts. Il nous rend facile à conquérir. Nous ne sommes plus un adversaire redoutable pour les globalistes.
Voici les faits :
La grande majorité des globalistes ne sont pas d’origine juive et ne sont pas sionistes dans leurs affiliations politiques. Alors qu’il y a des secteurs d’institutions globalistes où on trouve une plus grande concentration de Juifs que dans d’autres groupes (comme la Réserve fédérale), cela n’indique pas qu’ils y sont majoritaires ou qu’il existe une sorte de « conspiration juive » au sens large. Au contraire, les conseils d’administration et les membres de la plupart des institutions globalistes ont une petite minorité de Juifs et sont en majorité d’origine anglophone. On peut simplement regarder le conseil d’administration de groupes au sommet de la pyramide globaliste comme le Fonds monétaire international, la Banque des règlements internationaux ou la Banque Mondiale et vérifier que c’est le cas.
Nous pouvons également examiner les participants aux sommets globalistes passés, comme le Groupe Bilderberg ou le Forum économique global de Davos, et voir qu’une fois de plus, certains Juifs peuvent être impliqués, mais qu’ils ne sont pas majoritaires et n’occupent même pas les postes les plus élevés de l’autorité. Bien que la famille Rothschild (juive) suscite beaucoup d’attention en tant que centre de pouvoir majeur dans les cercles globalistes, nous pouvons voir qu’elle n’est qu’une influence parmi tant d’autres.
Ces personnes viennent du monde entier et sont de toutes les ethnies et de toutes les nationalités que l’on peut imaginer. Ainsi, la vaste conspiration de l’identité blanche devient plutôt inutile pour nous aider à comprendre qui sont vraiment les globalistes. En fait, elle nous induit en erreur et nous indique la mauvaise direction, et c’est peut-être là son objectif sous-jacent.
L’argument de repli est qu’ils ne sont peut-être pas majoritairement juifs, mais ils sont tous « sionistes », ce qui, encore une fois, n’est tout simplement pas vrai. Le sionisme est certes un projet globaliste, mais c’est plutôt une entreprise parallèle destinée à manipuler certains juifs et chrétiens évangéliques pour en faire des fanatiques, à exploiter pour soutenir des efforts comme la guerre au Moyen-Orient. Le sionisme lui-même rend les centres juifs comme Israël moins sûrs et plus sujets à la destruction. Les globalistes ne se soucient d’Israël ou du peuple juif en général que dans la mesure où ils peuvent être utilisés comme un outil pour d’autres efforts plus importants.
Et, bien que j’ai critiqué les actions du gouvernement israélien à maintes reprises (et qu’on m’ait accusé d’être un antisémite pour cela), ce n’est pas la même chose que d’attaquer le peuple israélien. La globalisation les menace autant qu’elle menace les autres. J’invite les lecteurs à consulter les listes de bon nombre des plus grandes organisations globalistes ; ils y trouveront une minorité de sionistes, et non une majorité.
S’il ne s’agit pas des Juifs ou du sionisme, qu’est-ce que le globalisme ? Il est essentiel que nous examinions l’intention, les actions, les motivations et les croyances de ces personnes. L’hyper-focalisation sur leurs antécédents génétiques ne nous mènera nulle part. Comment savoir si nous avons affaire à un globaliste ? Examinons certains des éléments réels et universels qui font des globalistes une culture organisée et identifiable, séparée, distincte et destructrice….
La globalisation en tant qu’avenir « inévitable »
Les globalistes prétendront souvent que la globalisation, la centralisation de tout pouvoir gouvernemental et économique, est un sous-produit inévitable du « progrès ». Ils affirmeront, sans aucune preuve bien sûr, que le globalisme représente un sommet de l’évolution de la société humaine. Par conséquent, quiconque fait obstacle à la globalisation fait obstacle au progrès, ce qui est apparemment un péché capital dans le nouvel ordre mondial.
Mais la centralisation du pouvoir n’est pas une nouveauté, et les rêves d’un empire global dirigé par des « élites » autoproclamées remontent à Platon et sa « République ». L’utopie par les élites pour les élites est une histoire vieille comme le monde. Elle ne représente pas l’évolution, mais la régression vers une idéologie contre laquelle les êtres humains luttent depuis des milliers d’années pour s’en échapper.
Nous devrions également faire ici la distinction entre les globalistes et les idiots utiles. Les globalistes sont des personnes en position de pouvoir suffisamment puissantes pour contribuer à influer sur les changements et les programmes qu’elles décrivent. Des idiots utiles (socialistes/communistes) peuvent embrasser la rhétorique globaliste, mais ils n’ont aucun pouvoir. Ils sont exploités comme une arme contondante par les globalistes, mais ce ne sont pas des globalistes, et ils ne bénéficieront finalement probablement pas du globalisme.
Fin de la souveraineté
Les globalistes traitent l’idée de souveraineté avec mépris. Leurs attaques tournent généralement autour du nationalisme et ils pontifient sans cesse sur les vertus de l’ouverture des frontières. Ils peuvent aussi parfois être pris à critiquer le concept de souveraineté individuelle, mais ils semblent avoir envie de croire qu’ILS sont des individus uniques et supérieurs. L’individualité et la liberté leur sont destinées, mais pas au reste d’entre nous.
Autorité économique unique et système monétaire
Un élément clé du globalisme est la centralisation économique, ce qui est tout à fait logique quand on sait que le commerce est la racine de la civilisation humaine et de sa survie. Le commerce est presque aussi important que l’air que nous respirons et l’eau que nous buvons. Le plan cohérent présenté par les globalistes est que le FMI en particulier doit devenir le goulot d’étranglement de la gestion économique globale et que toutes les principales devises du monde seront absorbées par le FMI dans leur système de panier de DTS.
Cela donnerait au FMI la capacité de dicter les taux de change à son gré, ce qui lui permettrait d’homogénéiser les valeurs monétaires jusqu’à ce qu’elles soient si semblables qu’une seule monnaie globale devienne une prochaine étape naturelle. Ce produit final serait une société sans numéraire, basée sur une monnaie ou une crypto-monnaie basée sur une chaîne de blocs numériques.
Gouvernement global unique
Tous les globalistes soutiennent que la réponse à la plupart des maux du monde est une gouvernance globale, ou la fin des États-nations et des divisions culturelles au nom de la « paix ». L’ONU est jusqu’à présent le moteur de cet effort, mais elle est suivie par diverses organisations comme le FMI, la BRI, la Banque mondiale, ainsi que par des dizaines d’organisations et de think tanks comme le CFR ; Tavistock ; la Commission trilatérale ; le Bilderberg ; la Darpa [Armée américaine, Ndt], etc … Un modèle pratique pour ce type de gouvernement peut être observé dans l’Union européenne, qui est contrôlée par une machine bureaucratique supranationale dirigée par des fonctionnaires pour la plupart sans visage qui ne sont pas élus et qui ne répondent pas devant le public.
Les globalistes ont des termes différents pour le passage à un gouvernement mondial unique ou à un système de monnaie unique. Ils appellent cela un « reset global », ou un « nouvel ordre mondial », ou un « ordre mondial multipolaire ». Mais toutes ces étiquettes commerciales font essentiellement référence à la même chose.
Si proche
Tout homme politique qui travaille en étroite collaboration avec des institutions ou des groupes de réflexion globalistes est probablement un globaliste. Tout politicien ou fonctionnaire gouvernemental qui s’associe régulièrement et coopère avec des globalistes connus est probablement aussi un globaliste.
La crise environnementale comme menace hégélienne
Ce ne sont pas tous les globalistes qui se moussent publiquement sur ce sujet, mais la plupart le font. La stratégie, qui a été planifiée par le Club de Rome en collaboration avec d’éminents globalistes comme l’ancien directeur de l’ONU Robert Muller, était de créer l’idée d’une menace environnementale si potentiellement dévastatrice que la seule option serait que le public accepte la gouvernance globale comme la solution. Le réchauffement climatique et le « changement climatique » sont devenus cette menace existentielle.
Peu importe la fréquence ou la force avec laquelle l’argument du changement climatique est démystifié par des données réelles, les globalistes poussent désespérément cette idéologie. Il s’agit d’une clé de compréhension principale pour tout ce qu’ils espèrent accomplir en termes de centralisation, et leur calendrier est fixé pour l’année 2030. Les globalistes semblent aussi aimer fabriquer de faux dilemmes moraux qui forcent les gens à choisir entre une mauvaise solution ou une autre. Le faux dilemme moral ici est que si nous n’acceptons pas la centralisation globale et la gestion élitiste de la planète, nous risquons la destruction de notre environnement à une échelle apocalyptique.
Similitudes psychologiques des globalistes
Probablement l’épiphanie la plus écrasante à laquelle j’ai assisté au cours de mes 12 années d’analyse du globalisme et de la nature du mal, c’est que les globalistes sont en fait liés par une maladie mentale profonde ou une aberration psychologique. C’est ce que j’ai découvert lors de mes recherches sur la sociopathie narcissique, ou ce que certains cercles pourraient appeler la « psychopathie ». La criminologie indique que tous les criminels ne sont pas des sociopathes narcissiques à part entière, mais la plupart des sociopathes narcissiques à part entière sont des criminels. Certains sont tout simplement des criminels qui réussissent mieux que d’autres, et cela dépend habituellement de leur capacité à se fondre dans la masse et à imiter ou à manipuler les gens normaux.
Les sociopathes narcissiques (ou psychopathes) représentent environ 1% de la population, mais sont responsables de la grande majorité des crimes violents ou des entreprises criminelles. La part du lion des ressources du système de justice est utilisée pour traiter ces personnes, car elles sont de quatre à huit fois plus susceptibles que la moyenne d’utiliser la violence dans leurs interactions quotidiennes ou comme un outil pour en tirer avantage, et vingt-cinq fois plus susceptibles de se retrouver en prison.
Il y a une longue liste de traits de caractère qui font d’un sociopathe narcissique un sociopathe, mais les caractéristiques qui le définissent sont un manque total de conscience et d’empathie ; une propension au relativisme moral (la capacité à rationaliser tout comportement destructeur) ; un besoin urgent d’être aimé ou admiré par tous ceux qui les entourent ; un sentiment « plus spécial » que la plupart ; un sentiment de supériorité ; des illusions de grandeur ou un droit inhérent à gérer la vie des autres ; un besoin obsessionnel de contrôle et de manipulation ; des désirs impulsifs et des inclinations sexuelles déviantes, et des associations élitistes (ils ne s’associeront qu’avec des personnes qu’ils considèrent comme eux et qui sont « également supérieures »).
Un fait marquant de la sociopathie narcissique est que ces traits sont innés, et non un produit de l’environnement. Dans certains cas, l’environnement peut jouer un rôle dans l’activation de ces traits, mais si une personne n’est pas née avec eux, elle ne les adopte généralement pas plus tard dans sa vie en raison d’un environnement traumatique. Les documentaires suivants liés ici et ici sont un excellent aperçu des sociopathes narcissiques de haut niveau.
Les sociopathes narcissiques défient toute forme de traitement et ne peuvent être réformés. Ils n’ont pas de personnalité concrète au-delà de ces traits, donc, si vous supprimez ces traits, ils ne se retrouvent avec rien d’autre. Ils sont presque anti-humains ; alors que la plupart des gens naissent avec des combinaisons de personnalités uniques, les sociopathes narcissiques n’en ont pas, alors ils imitent les personnalités de ceux qui les entourent, reproduisant des comportements miroirs et collectionnant ou volant des excentricités.
Leurs principales motivations sont de réaliser leurs fantasmes de supériorité et de divinité, ainsi qu’une quête sans fin pour satisfaire leur dépendance à la dopamine. Plus l’action est déviante et plus ils réussissent à s’en sortir, plus ils génèrent de dopamine et plus ils se sentent satisfaits. Cela conduit à un cycle sans fin, à la recherche de plus en plus d’exploitation de l’autre qui devient de moins en moins satisfaisant, ce qui conduit à une déviance encore plus grande.
J’ai réalisé lors de mes études que ces caractéristiques décrivaient presque exactement les comportements observables des globalistes. La différence étant que les globalistes fonctionnaient si bien qu’ils avaient en fait construit une société de sociopathes narcissiques qui fonctionnait comme une sorte de secte, ou une entité corporative. Le seul autre exemple historique auquel je pourrais le comparer serait la pègre ou d’autres formes de gangs qui se sont fondus dans la société normale environnante et ont opéré en son sein.
Je ne sais pas si une société de sociopathes narcissiques avec ses propres coutumes, mythologies et croyances tribales a jamais été enregistrée auparavant. Alors que les psychopathes ont été connus dans le passé pour s’organiser en groupes pour leur bénéfice mutuel, les globalistes sont quelque chose de différent. Il s’agit d’une anomalie ; une culture bien entretenue de parasites qui s’est mélangée presque harmonieusement à la société normale afin de se nourrir de personnes non psychopathes et empathiques. La meilleure représentation fictive à laquelle je puisse penser est le vampire. Ils sont si semblables que je me demande parfois si des créatures folkloriques comme les vampires sont inspirées de sociopathes narcissiques pour avertir les gens de leur présence.
Les globalistes sont en effet une culture, un phénomène secret et occulte qui veut tellement être reconnu et adoré, mais qui craint l’examen du public. Leur motivation au fond est de conditionner ou de démolir la société normale, morale et libre jusqu’à ce qu’elle devienne un endroit où ils peuvent être ouvertement ce qu’ils sont vraiment sans crainte de jugement ou de conséquences. Ils veulent terraformer la civilisation et en faire un habitat qui les acceptera ; un habitat pour les monstres entourés de victimes consentantes.
En Bonus, LE documentaire à voir pour avoir la grande image :
Source : http://alt-market.com/articles/3693-how-to-identify-a-globalist-criminal
Traduction + ajouts : https://www.divulgation.fr/