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Cartel de la drogue : L’administration Biden accepte de payer Pfizer 56% de plus pour ses piqûres COVID

Le géant pharmaceutique nage déjà dans les records de bénéfices, et devrait générer bien plus de 100 milliards de dollars de revenus en 2022.

Pfizer nage déjà dans des bénéfices records, mais cela n’a pas empêché le groupe pharmaceutique d’arnaquer le contribuable américain jusqu’au dernier dollar.

Mercredi, l’administration Biden a signé avec Pfizer un nouveau contrat de fourniture de vaccins d’un montant de 3,2 milliards de dollars pour 105 millions d’injections COVID, mais il ne s’agit que du premier lot de vaccins à ARNm. Le contrat générera bien plus de 9 milliards de dollars pour Pfizer, puisque ce dernier accord d’achat s’élève à 300 millions de doses. Par rapport aux accords précédents avec Pfizer, cet accord public-privé sans appel d’offres coûtera beaucoup plus cher au contribuable américain.

L’administration Biden a justifié l’accord en affirmant qu’elle avait besoin de reconstituer l’approvisionnement pour se préparer aux pics saisonniers. Les données ne soutiennent pas une telle affirmation. Selon le CDC, près de 100 millions de vaccins Pfizer financés par les contribuables (et 169 millions de vaccins au total) n’ont pas été utilisés, ce qui représente un gaspillage de plusieurs milliards de dollars.

Selon les données du CDC, il y a actuellement plus de 168 millions de doses de vaccins inutilisées.
– 59 millions de doses Moderna non utilisées
– 98 millions de doses non utilisées de Pfizer
– 12 millions de doses non utilisées de Janssen
762 millions de doses distribuées et 594 millions de doses administrées.
Soit 50 751 doses inutilisées pour 100 000 citoyens américains.

Le nouvel accord permet à l’administration Biden d’acheter les injections COVID de Pfizer, en attente d’autorisation, qui, selon l’entreprise, sont reformulées pour des variants plus récents.

Cependant, même la nouvelle formulation est déjà dépassée. Elle a été conçue et testée pour un sous-variant d’Omicron (BA.1) qui était populaire l’hiver dernier, mais qui n’est plus en circulation, ce qui la rend potentiellement aussi inutile que l’injection de la souche de Wuhan. L’offre comprend les formulations pour nourrissons et enfants en bas âge, qui sont basées sur la souche de Wuhan.

Aucun des vaccins de cet accord ne sera fourni sous une étiquette approuvée par la FDA. Au lieu de cela, ils seront distribués en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence. Pfizer n’a jamais déployé son vaccin approuvé par la FDA aux États-Unis. La société a récemment reconnu qu’elle n’avait jamais l’intention de produire ses vaccins originaux approuvés par la FDA.

L’accord initial avec Pfizer a été négocié par l’administration Trump à l’époque de l’opération Warp Speed. Le géant pharmaceutique recevait alors 19,50 dollars par dose. Le nouveau pacte donne à Pfizer 30,48 dollars par dose, ce qui représente une hausse astronomique de 56% par rapport à l’accord négocié par la dernière administration.

Cette hausse de prix va à l’encontre de la probabilité que les coûts de Pfizer soient bien inférieurs à ce qu’ils étaient avec le bon de commande initial. Les vaccins pour nourrissons et enfants ne contiennent qu’une fraction de l’accord actif que l’on trouve dans les vaccins pour adultes, et chaque flacon contient plus de doses. De plus, Pfizer a ajouté un ingrédient à la formule qui permet de prolonger considérablement la durée de conservation, ce qui rend la logistique beaucoup plus rentable.

Les marges de Pfizer avaient déjà atteint des sommets avant l’annonce de mercredi.

Le rapport de mai sur les résultats de Pfizer a montré que la société a enregistré un chiffre d’affaires record de 26 milliards de dollars au premier trimestre et un bénéfice trimestriel de 7,86 milliards de dollars. Le chiffre d’affaires a augmenté de 77% par rapport à 2021, tandis que le bénéfice a augmenté de 61%. Considérez maintenant ces chiffres pour 2022 dans le contexte des revenus de Pfizer pour 2021, qui ont dépassé de 95% ceux de 2020.

Avant la nouvelle commande de vaccins, Pfizer était déjà en passe de réaliser plus de 100 milliards de dollars de recettes et 32 milliards de dollars de bénéfices nets cette année. Dans ses déclarations financières, l’entreprise a reconnu qu’elle s’était transformée en une entreprise axée sur le COVID-19. Tous ses nouveaux revenus proviennent du contribuable américain et d’autres « clients » gouvernementaux via leurs contribuables, qui n’ont pratiquement pas voix au chapitre.

source : The Dossier

traduction Réseau International

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