Grâce aux récentes avancées de la recherche génétique, les affirmations de trois dénonciateurs, qui disent avoir subi un processus de régression en âge dans des programmes spatiaux secrets, sont devenues beaucoup plus plausibles. Les dénonciateurs, Corey Goode, Randy Cramer et Michael Relfe, affirment tous avoir été soumis à un processus de régression de l’âge pour rajeunir de 20 ans à la fin de leurs périodes de service respectives dans des programmes spatiaux secrets.
Récemment, des généticiens ont identifié les gènes qui contrôlent le processus de vieillissement et ont démontré, lors d’expériences étonnantes dont les résultats ont été publiés dans des revues scientifiques évaluées par des pairs, qu’ils étaient capables d’inverser le processus de vieillissement avec plus ou moins de succès.
Les résultats de ces expériences rendent plausible que les trois dénonciateurs aient effectivement subi un processus de régression de l’âge en utilisant des technologies médicales classifiées dans des programmes spatiaux secrets, comme ils l’ont affirmé.
Le principal chercheur en génétique des études sur l’inversion de l’âge annoncées publiquement est le Dr David Sinclair, qui a évoqué dans une interview les résultats de ses expériences génétiques d’abord menées sur des souris :
- Nous avons découvert des gènes qui contrôlent la façon dont le corps lutte contre le vieillissement et ces gènes, si vous les activez de la bonne façon, peuvent avoir des effets très puissants, et même inverser le vieillissement – du moins chez les souris jusqu’à présent… Nous les avons nourries d’une molécule appelée NMN et cela a complètement inversé le vieillissement en une semaine de traitement dans le muscle, et maintenant nous cherchons à inverser tous les aspects du vieillissement si possible.
Il a expliqué comment ce processus pouvait également être appliqué en toute sécurité à l’homme :
- Nous sommes passés de la souris aux premières études sur l’homme. Des essais cliniques ont eu lieu dans le monde entier et nous espérons, dans les prochaines années, savoir si cela fonctionnera également chez l’homme… Ils montrent que les molécules qui prolongent la durée de vie chez la souris sont sans danger pour l’homme.
Le professeur Sinclair a ajouté dans son interview que des médicaments basés sur la molécule de nicotinamide mononucléotide (NMN) pourraient être développés avec succès « pour restaurer la jeunesse des cellules humaines ».
Le point de vue de Sinclair selon lequel des médicaments à base de NMN seront un jour développés pour être utilisés en toute sécurité par les humains est stupéfiant dans ses implications. Il pourrait bien être en train de mettre au point le légendaire élixir de vie, ce qui explique qu’il ait été rapidement élevé au rang des 100 personnes les plus influentes du monde selon le Time Magazine.
Il est important de souligner que la recherche génétique pionnière de Sinclair est une source ouverte et non classifiée. Cela signifie qu’il est très probable, voire presque certain, que les recherches classifiées dans le domaine de la technologie d’inversion/régression de l’âge sont bien plus avancées que tout ce qui a été réalisé par Sinclair et ses pairs.
Lors de plusieurs entretiens privés avec William Tompkins, un ancien agent des services de renseignement de la marine américaine qui a ensuite travaillé pendant plus de quatre décennies pour des entrepreneurs de premier plan dans le domaine de l’aérospatiale, il a révélé avoir travaillé sur une étude classifiée développée par la société TRW sur les médicaments de régression de l’âge de 1967 à 1971.
Tompkins a déclaré avoir découvert le développement des technologies de régression de l’âge lorsqu’il a participé aux débriefings d’espions de la marine américaine, de 1942 à 1945, à la Naval Air Station de San Diego. Ces espions ont révélé l’existence d’études de régression en fonction de l’âge qui étaient alors secrètement en cours dans l’Allemagne nazie.
À l’époque, le travail de Tompkins consistait à distribuer des dossiers d’information aux entreprises et aux groupes de réflexion américains possédant une expertise dans les domaines utilisés par les nazis pour développer leurs technologies révolutionnaires. Tompkins a déclaré que le Massachusetts Institute of Technology (MIT) figurait parmi les centres de recherche universitaires auxquels il avait remis des dossiers d’information. Il est donc possible que les scientifiques du MIT aient eu connaissance des études nazies de régression en âge depuis 1942 !
De manière significative, la percée de Sinclair dans les études de régression en âge a été réalisée alors qu’il était boursier post-doctoral au MIT sous la direction du Dr Leonard Guarente au MIT. S’agit-il d’une simple coïncidence, ou Sinclair a-t-il été aidé ou encouragé alors qu’il était au MIT à développer ses connaissances sur le potentiel d’inversion de l’âge par la manipulation génétique ?
Récemment, Tompkins m’a révélé en privé que des médicaments classifiés de « régression de l’âge » ont été développés. Il dit que ces médicaments ont été utilisés pendant un certain temps dans les tours de service de « 20 ans et retour » dans les programmes spatiaux secrets. Ceci est cohérent avec le processus de régression en âge décrit par Goode, Cramer et Relfe, qui impliquait l’administration de médicaments sur une période de deux semaines pendant laquelle ils étaient physiquement immobilisés.
Plus récemment encore, M. Tompkins affirme que les médicaments ont été perfectionnés de manière à pouvoir être utilisés pour des périodes de régression de l’âge plus importantes. Par exemple, il est maintenant possible de faire revenir une personne de 90 ans dans le corps physique d’une personne de 27 ans. Selon M. Tompkins, un processus de divulgation secret, sanctionné par la marine américaine, est en cours pour diffuser ces technologies de régression en âge dans le secteur public. Il est donc possible que les recherches de Sinclair aient été stimulées par cette initiative secrète de la Marine pendant son séjour au MIT.
À tout le moins, les expériences pionnières de Sinclair sur l’inversion de l’âge et l’identification de la molécule NMN qui peut être utilisée pour développer des médicaments de « régression de l’âge » signifient que les affirmations de Goode, Cramer et Relfe ne semblent plus aussi farfelues et sont en effet scientifiquement réalisables.
Traduction : https://exoconscience.com
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