Les faits :
Une demande au titre de la loi sur la liberté d’information (FOIA) a révélé que 17 371 personnes en Angleterre et au Pays de Galles sont décédées uniquement à cause du COVID.
Les données représentent les chiffres enregistrés depuis le début de 2020 jusqu’à la fin de septembre 2021.
Ces personnes n’avaient aucune autre cause inscrite sur leur certificat de décès.
Réflexion : Pourquoi les journalistes ne parlent-ils pas de ce que cela pourrait signifier ? La majorité des personnes décédées du COVID avaient de multiples autres causes inscrites sur leur certificat de décès. Pourquoi n’avons-nous pas adopté un plan de protection plus ciblé pour protéger les personnes vulnérables ?
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Une demande de la loi sur la liberté d’information (FOIA) publiée fin 2021 révèle le nombre total de personnes décédées du COVID sans aucune condition préexistante en Angleterre et au Pays de Galles. Ce nombre est de 17 371 personnes depuis le début de 2020 jusqu’à la fin de septembre 2021.
Si l’on décompose ce chiffre par année, en 2020, 9 400 personnes sont décédées du COVID alors qu’elles ne présentaient aucune condition préexistante. En 2021, 7 971 personnes sont décédées du COVID alors qu’elles n’avaient aucune condition préexistante. Il est important de mentionner que ces chiffres ne tiennent pas compte du reste de l’année, d’octobre à décembre 2021.
Cela signifie qu’au dernier trimestre de 2021, le nombre de décès qui devrait avoir lieu pour égaler 2020 serait d’environ 1 429. Ce qui n’est pas très éloigné des 1 142 décès survenus de juillet à septembre 2021 au troisième trimestre de l’année.
L’âge moyen des personnes décédées uniquement du COVID était de 82,5 ans, alors que l’espérance de vie moyenne nationale est de 79 ans pour les hommes et de 82,9 ans pour les femmes. Cela signifie que l’espérance de vie des hommes est en fait inférieure à l’âge moyen des personnes décédées de COVID sans autre cause sous-jacente.
Il est important de noter que l’espérance de vie des hommes a baissé d’environ 7 semaines pendant la pandémie. Il s’agit de la première baisse depuis le début des années 1980. Étonnamment, l’espérance de vie des femmes a en fait augmenté d’une demi-semaine au Royaume-Uni.
À titre de référence, pendant la grippe espagnole, l’espérance de vie a chuté d’environ cinq ans au Royaume-Uni. Certains rapports en provenance des États-Unis font état d’une baisse de l’espérance de vie allant jusqu’à 12 ans pour les hommes et les femmes en 1918.
Ces informations ne doivent pas minimiser les nombreux décès de personnes souffrant de maladies préexistantes et de problèmes de santé généraux qui ont succombé au COVID. La question des personnes âgées et vulnérables et la protection devrait être axée sur eux comme indiqué dans la Déclaration de Great Barrington.
En outre, nombreux sont ceux qui confondent la signification de ce chiffre, pensant que COVID n’était pas un facteur dans le décès de personnes ayant d’autres problèmes de santé sous-jacents. Le COVID était probablement un facteur pour certains, mais peut-être pas pour tous. La question qui se pose avec ces données est, et a toujours été, de savoir combien de personnes meurent « avec » le COVID par rapport à celles qui meurent « du » COVID. Si une personne est testée positive au COVID alors qu’elle est hospitalisée pour autre chose, doit-on parler d’un décès dû au COVID ? Cela ne s’est jamais vraiment produit avec d’autres virus, comme le VRS ou la grippe par exemple.
Aux Etats-Unis, 95% des personnes décédées du COVID-19 avaient au moins une comorbidité listée comme cause du décès. La moyenne est de 4 comorbidités ». Ici, en Ontario, au Canada, les autorités sanitaires ont admis avoir marqué des décès comme étant des décès dus au COVID alors qu’il n’est même pas clair si le COVID en était la cause.
Il faut encore discuter de ces chiffres, de leur signification et de la manière de les interpréter.
Tout au long de la pandémie, les médias traditionnels n’ont cessé de brandir des chiffres, sans pour autant donner aux gens un contexte ou des références claires sur lesquelles s’appuyer. Ce n’est pas que les chiffres communiqués soient nécessairement faux. Il s’agit simplement de se concentrer et de s’assurer que l’information est bien complète.
Vous trouverez ci-dessous le décompte le plus récent des décès au Royaume-Uni sur leur site officiel au moment où cet article a été écrit.
En examinant ces chiffres, pensez-vous qu’il serait important d’inclure le nombre de personnes décédées du COVID sans autre condition sous-jacente ? Là encore, le chiffre officiel du Royaume-Uni est de 17 371 en Angleterre et au Pays de Galles de 2020 à fin septembre 2021.
Pourquoi les journalistes ne discutent-ils pas de ce que cela pourrait signifier et de la manière de comprendre plus profondément ce qui se passe dans notre monde alors que tant de personnes ont clairement des problèmes de santé chroniques qui les rendent vulnérables à un virus dont le taux de survie est élevé.
Enfin, avec une vision plus complète des personnes qui meurent de et avec le COVID, certaines politiques et mandats ont-ils encore un sens ?
Traduction : https://exoconscience.com
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