Le contrôle mental, une pratique qui remonte aux premières sociétés secrètes, a évolué au fil des siècles. Des rituels anciens aux techniques scientifiques modernes, cette forme de manipulation a toujours eu pour but de maintenir le secret et de fragmenter l’esprit des victimes.
Historiquement, le contrôle mental était principalement exercé par des rituels, souvent violents et traumatisants. Par exemple, des enfants étaient soumis à des tortures extrêmes, comme être pendus par les pieds dans un puits ou enterrés vivants, pour les forcer à garder des secrets. Ces pratiques, qui existent depuis des milliers d’années, étaient courantes jusqu’au début du XXème siècle.
Au début du XXème siècle, un changement significatif s’est opéré. Le contrôle mental est devenu plus scientifique, intégrant des méthodes modernes de manipulation comportementale et d’attachement.
Le projet MK-Ultra, par exemple, a été directement inspiré par des pratiques occultes anciennes, utilisant des traumatismes répétitifs pour dissocier et programmer les victimes. Ces techniques, bien que modernisées, restent profondément enracinées dans des rituels sataniques et des abus transgénérationnels.
Aujourd’hui, le contrôle mental continue d’être utilisé dans divers groupes et sociétés secrètes. Les individus impliqués, y compris les programmeurs et les dirigeants, sont souvent eux-mêmes dissociés en raison des tortures subies durant leur enfance.
Le but ultime de ces pratiques est de faire taire la voix intérieure qui distingue le bien du mal, empêchant ainsi les victimes de s’échapper ou de parler de leurs expériences.
