Note Flo : Le pape (jésuite) François est aligné sur la vision Kissinger, c’est à dire la faction de la Cabale qui accepte de négocier depuis des années avec ces sociétés secrètes de l’Est un Nouvel Ordre Mondial (nouveau système financier) plus « juste » et « équilibré » entre l’Ouest et l’Est avec une divulgation partielle (divulgation des TR-3B, de l’Atlantide, effacement des dettes, Premier Contact, arrestation des plus psychopathes,…).
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Le pape François est revenu sur ses déclarations antérieures controversées selon lesquelles le conflit entre la Russie et l’Ukraine est en grande partie la faute de l’OTAN, affirmant également que « la guerre ne peut être réduite à la distinction entre les bons et les méchants » – comme le titre de l’interview publié par le Vatican lui-même.
Dans des déclarations publiées mardi par la revue jésuite La Civiltà Cattolica, les dirigeants catholiques romains ont déclaré que l’invasion russe avait « peut-être été provoquée d’une manière ou d’une autre« , tout en affirmant que certains signes indiquaient que l’OTAN avait « aboyé aux portes de la Russie » au cours de la période préparatoire.
Le pontife a néanmoins condamné ce qu’il a appelé « la férocité et la cruauté des troupes russes », tout en mettant en garde contre une vision purement « bonne contre mauvaise » du conflit.
Tout comme ses premiers commentaires similaires faits au début du mois de mai, ces dernières déclarations ont suscité l’indignation des experts occidentaux qui ont appelé à une escalade du soutien militaire à l’Ukraine au détriment du dialogue avec Moscou en vue de négocier un règlement pour mettre fin à la guerre :
- « Nous devons nous éloigner du schéma habituel du Petit Chaperon rouge, dans lequel le Petit Chaperon rouge était bon et le loup était le méchant« , a déclaré François. « Quelque chose de global est en train d’émerger et les éléments sont très imbriqués ».
C’est alors que dans l’interview, il a fourni plus de contexte à ses déclarations de début mai sur la guerre. Il a déclaré que quelques mois avant l’invasion du 24 février, il a rencontré un chef d’État « sage » – bien que François ne l’ait pas nommé :
- « …un homme sage qui parle peu, un homme très sage en effet… Il m’a dit qu’il était très inquiet de l’évolution de l’OTAN. Je lui ai demandé pourquoi, et il m’a répondu : « Ils aboient aux portes de la Russie. Ils ne comprennent pas que les Russes sont impériaux et ne peuvent pas avoir une puissance étrangère qui s’approche d’eux.' »
- « Il a conclu : ‘La situation pourrait mener à la guerre‘. C’était son opinion. Le 24 février, la guerre a commencé. Ce chef d’État a su lire les signes de ce qui se passait. »
Il a ajouté : « Nous ne voyons pas tout le drame qui se déroule derrière cette guerre, qui a été, peut-être, en quelque sorte, soit provoquée, soit non empêchée. »
Le pape a également répété que l’industrie de l’armement en Occident profite de l’effusion de sang : « Je note également l’intérêt pour les essais et la vente d’armes. C’est très triste, mais au bout du compte, c’est ce qui est en jeu », a-t-il déclaré dans l’interview.
« Quelqu’un peut me dire à ce stade : mais vous êtes pro-Poutine ! Non, je ne le suis pas. Il serait simpliste et erroné de dire une telle chose. Je suis simplement contre le fait de transformer une situation complexe en une distinction entre les bons et les méchants, sans tenir compte des racines et des intérêts personnels, qui sont très complexes. Alors que nous sommes témoins de la férocité et de la cruauté des troupes russes, nous ne devons pas oublier les problèmes, et chercher à les résoudre », a-t-il expliqué.
Selon Vatican News, le pontife a en outre décrit qu’au-delà de l’Ukraine-Russie, « le monde est en guerre… ».
- « Nous voyons ce qui se passe actuellement en Ukraine d’une certaine manière parce que c’est plus proche de nous et que cela pique davantage nos sensibilités. Mais il y a d’autres pays très éloignés – pensez à certaines régions d’Afrique, le nord du Nigeria, le nord du Congo – où la guerre est en cours et où personne ne s’en soucie. Pensez au Myanmar et aux Rohingyas. Le monde est en guerre. Aujourd’hui, pour moi, la troisième guerre mondiale a été déclarée ».
La dernière fois qu’il a suggéré que l’Occident est au moins également à blâmer pour le déroulement de la guerre en Ukraine, une avalanche d’articles d’opinion et de condamnations ont été publiés par des responsables américains et occidentaux suggérant que, d’une certaine manière, le pape libéral François a lui aussi été « compromis » par Poutine (ironiquement, un dénigrement généralement réservé à Trump ou aux républicains en général).
https://t.me/DivulgationOfficiel/1420
Traduction : https://exoconscience.com
