Les faits :
Trois médecins de l’armée américaine ont publié des déclarations en tant que dénonciateurs au titre de la loi sur la protection des dénonciateurs militaires, concernant l’augmentation spectaculaire de diverses maladies parmi le personnel militaire en 2021 par rapport aux années précédentes.
Il s’agit de cancers, de troubles du système nerveux, de problèmes de fertilité, etc.
Des allégations selon lesquelles des incidents de myocardite ont été supprimés des bases de données militaires ont également été faites.
Réfléchissez-y :
Quelle a pu être la cause de ces augmentations ?
Est-il raisonnable de considérer la vaccination contre le COVID-19 comme une piste à explorer ?
Pourquoi les experts qui posent cette question sont-ils vilipendés et censurés ?
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Trois médecins militaires ont affirmé que les données de la base de données épidémiologiques médicales de la Défense (DMED) montrent une augmentation significative des diagnostics enregistrés (sur DMED) pour des fausses couches, des cancers et de nombreuses autres conditions médicales en 2021 par rapport à une moyenne sur cinq ans de 2016 à 2020.
Les docteurs . Samuel Sigoloff, Peter Chambers et Theresa Long ont publié des affidavits en tant que dénonciateurs en vertu de la loi sur la protection des dénonciateurs militaires.
Thomas Renz, l’avocat qui représente ces dénonciateurs, a déclaré que les diagnostics enregistrés pour des problèmes neurologiques ont été multipliés par 10, passant d’une moyenne de 82 000 sur cinq ans à 863 000 en 2021. Il l’a fait lors d’une table ronde à laquelle participaient un certain nombre de médecins et d’experts médicaux renommés qui ont partagé leurs points de vue sur l’efficacité et la sécurité de l’inoculation du COVID-19. Voici quelques-uns des chiffres.
- Hypertension – augmentation de 2 181 %.
- Maladie du système nerveux – augmentation de 1 048 %.
- Tumeurs malignes de l’œsophage – augmentation de 894 %.
- Sclérose en plaques – augmentation de 680
- Tumeurs malignes des organes digestifs – augmentation de 624 %.
- Syndrome de Guillain-Barré – augmentation de 551 %.
- Cancer du sein – augmentation de 487
- Démyélinisation – augmentation de 487
- Tumeurs malignes de la thyroïde et d’autres glandes endocrines – augmentation de 474 %.
- Infertilité féminine – augmentation de 472
- Embolie pulmonaire – augmentation de 468
- Migraines – augmentation de 452
- Dysfonctionnement ovarien – augmentation de 437
- Cancer des testicules – augmentation de 369
- Tachycardie – augmentation de 302
Le sénateur américain Ron Johnson du Wisconsin a écrit une lettre à l’actuel secrétaire à la défense Lloyd J. Austin III pour lui faire part des informations ci-dessus, ainsi que du fait que,
- « Renz m’a également informé que certaines données DMED montrant un diagnostic enregistré de myocardite ont été retirées de la base de données. Suite à l’allégation selon laquelle les données DMED avaient été falsifiées, je vous ai immédiatement écrit le 24 janvier pour vous demander de conserver tous les documents se rapportant à DMED. Je n’ai pas encore appris si vous vous êtes conformé à cette demande ».
Dans sa déclaration sous serment, le Dr Peter Chambers évoque la possibilité que la vaccination COVID soit une cause potentielle de l’augmentation de ces chiffres. Il déclare ,
- « L’étude actuelle des règlements, et après des discussions avec un conseiller juridique, a permis à de nombreuses personnes, dont moi-même, de comprendre qu’il serait illégal de suivre un mandat qui ne permet pas un véritable consentement éclairé, étant donné que le vaccin actuellement disponible est encore en phase d’essai de trois ans et qu’il n’offre pas de conseils par le biais d’une notice ou autre. La prédominance des preuves montrant les effets indésirables de cette procédure d’administration du vaccin ne me permet pas de laisser mes soldats, mes collègues ou tout autre civil que je conseille souffrir.
Cette information s’ajoute à un ensemble croissant de preuves indiquant une augmentation des problèmes de santé depuis l’introduction des vaccins COVID-19. Bien que nous ne puissions pas immédiatement établir un lien de causalité, il s’agit d’un signal de sécurité important que nous devons continuer à suivre.
Les rapports de blessures liées aux vaccins ont été un thème commun tout au long de cette pandémie. Au 15 octobre 2021, le nombre d’événements indésirables signalés dans le monde pour les vaccins COVID dans le système de notification VigiAccess de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait dépassé 2 344 240. Il s’agit d’effets indésirables graves tels que des décès, des invalidités permanentes, des hospitalisations et des visites aux urgences, mais aussi de réactions très légères. Environ 50 % des blessures liées aux vaccins signalées au VAERS au cours des 30 dernières années sont toutes dues aux vaccins COVID. Des documents publiés en novembre montrent que Pfizer était au courant de plus de 50 000 réactions graves au vaccin COVID dans les mois qui ont suivi sa distribution.
Cela dit, des histoires comme celle-ci ont été largement ignorées par les médias traditionnels, ce qui fait que les gens ne sont pas conscients de leur prévalence.
Alors que ces nouvelles informations ne cessent de sortir, nous voyons également un nouveau bulletin du ministère américain de la sécurité intérieure (DHS) qui déclare que les citoyens américains partageant des « informations erronées » sur le COVID-19 pourraient être considérés comme du terrorisme intérieur. Le DHS estime que le partage libre et ouvert de « fausses informations » sape la confiance du public dans les institutions gouvernementales.
Le DHS cherche-t-il à agir comme un « ministère de la vérité » ? Qui décidera de ce qui est vrai et de ce qui ne l’est pas ? Tout au long de la pandémie de COVID-19, les informations légitimes ont été soumises à la » vérification des faits » et à la censure.
Compte tenu du nombre de journalistes indépendants ayant accès à des millions de personnes en ligne, la transparence totale sur les informations importantes semble être devenue une menace pour les grandes entreprises et les gouvernements qui ont souvent bénéficié d’une moindre pression de la part des esprits investigateurs.
L’aspect positif de l’ère de la censure est que de plus en plus de personnes voient à quel point elle est répandue. Elle devient de plus en plus évidente.
Traduction : https://exoconscience.com
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