Les scientifiques en charge de conseiller le gouvernement britannique ont reconnus le 14 Mai qu’ils ont usé de moyens dignes des dictateurs pour faire accepter au peuple les confinements et autres mesures.
Les « méchants complotistes » ont encore une fois eu raison malgré eux, car le comité « Scientific Pandemic Influenza Group », aussi appelé SPI-B, ayant conseillé le gouvernement Britannique depuis plus d’un an, avoue cette malheureuse réalité de la gouvernance par la peur, réalisée de concert avec les médias. Pourquoi ce mea culpa soudain ? Sentent-ils le vent tourner alors que de plus en plus de contestations et de remises en questions ont lieu aux 4 coins de l’Europe et du monde sur le bien fondé de cette suppression musclée et durable des libertés, pour un virus qui tue 0,05% des humains ?
Interrogés par des journalistes, les membres présents du SPI-B sont passés aux aveux: “C’est vrai qu’user de la peur comme moyen de contrôle est contraire à l’éthique. L’usage de la peur est totalitariste. Ce n’est pas une attitude éthique digne d’un gouvernement moderne » regrette Gavin Morgan, membre du comité.
Cité par The Telegraph, un autre membre du SPI-B avoue la volonté du gouvernement de créer la peur absolue chez le peuple dans le but d’instaurer des mesures restrictives. “En mars 2020, le gouvernement s’inquiétait de l’acceptabilité des mesures et a pensé que les gens n’accepteraient pas l’idée de se faire confiner”, dit-il.
Avant de préciser : “Il y a eu des échanges sur le besoin de créer la panique pour encourager l’acceptation des mesures qui ont été prises, sur la façon dont il fallait accroître la peur. La façon dont nous avons instrumentalisé la peur a été dystopique. L’usage de la peur a été discuté sur le plan éthique. Ce fut une expérience bizarre et cela s’est retourné contre nous car les gens ont eu vraiment peur”.
