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La vérité nous libérera

Plan B : La guerre en Ukraine est une nouvelle voie vers une grande réinitialisation

« La Chine est le modèle de société des mondialistes (les familles super riches et leurs serviteurs).

Ils ont fait de la Chine un terrain d’essai dès les années 70.

Ils aiment les résultats – une population super-passive entraînée à vivre avec des règles arbitraires insensées et une autonomie personnelle limitée.

L’échec de la pandémie à créer un point d’entrée pour cette Grande Réinitialisation a persuadé les élites de revenir au modèle de la guerre froide/guerre nucléaire.

Il a été convenu au cours de l’été 2021 de poursuivre un programme de guerre/guerre froide, en utilisant les biais existants et la longue histoire des tensions entre l’OTAN et le Pacte de Varsovie pour créer un nouveau point d’entrée pour la Grande Réinitialisation qui avait une meilleure chance de s’enraciner. »

Commentaire de Makow – Je comprends comment ils sont passés du COVID aux scénarios de guerre, mais l’auteur n’explique pas vraiment comment le fait de détester la Russie va faire accepter l’Agenda 2030 aux gens. Un ami m’a expliqué qu’ils utiliseront les famines et les bouleversements causés par la guerre pour nous affamer et nous soumettre).

Le sabotage de Nordstream concerne le Grand Réinitialisation (Great Reset)

Par Kit Knightly
(henrymakow.com)

Personne n’a une vue d’ensemble. Moi non plus, mais voici ce que j’ai pu glaner en gardant les oreilles ouvertes et la tête basse.

Je travaille dans un endroit sûr. C’est tout ce que je dis. Voici ce que je sais.

La Chine est le modèle de société des mondialistes (les familles super riches et leurs serviteurs).

Ils ont fait de la Chine un terrain d’essai dès les années 70. Ils aiment les résultats – une population super-passive entraînée à vivre avec des règles arbitraires et insensées et une autonomie personnelle limitée.

Depuis le début des années 2000, le défi consiste à transférer ce modèle dans le monde « libre », qui a une tradition bien ancrée de ce qu’ils appellent l’individualisme toxique et extrême et une liberté personnelle relativement élevée.

La première tentative a été la fausse pandémie.

Tous ceux qui ont un minimum d’expérience savent que c’est un faux, d’ailleurs.

La pandémie était un projet fou mis en place par un groupe restreint mais très actif et bien connecté. Ils sont vraiment cinglés.

ça s’est avéré problématique dès le début.

L’histoire devait être que ce virus inexistant provenait de Chine et que les Chinois avaient géré les dangers avec leur impitoyabilité et leur efficacité habituelles – mais ça a marché.

Cela devait ouvrir un débat orchestré dans les médias occidentaux sur la question de savoir si les droits de l’homme doivent parfois être abandonnés pour le bien collectif.

Le résultat était prédestiné à être un « oui », après quoi le style chinois de gouvernance sociale serait lentement introduit en Occident – pour « sauver des vies », etc.

Dans le même temps, la pandémie serait rendue responsable des pénuries alimentaires et de la hausse des prix, ce qui introduirait le rationnement.

Il était prévu à l’origine que, grâce à ces méthodes, nous serions, à la mi-2021, sur la voie du « ne rien posséder et être heureux ».

Les lecteurs les plus perspicaces se souviendront des déclarations des médias occidentaux selon lesquelles la Chine gère la pandémie mieux que l’Occident, etc.

Cependant, un manque sérieux d’accord au plus haut niveau dans certains pays occidentaux (principalement les États-Unis et le Royaume-Uni) sur la nature et la vitesse de la transition, ainsi qu’une résistance populaire inattendue (par les fous) dans le monde entier ont commencé à ralentir les choses et à fragmenter la résolution initiale.

Trop d’informations sur la fausse nature de la pandémie ont été diffusées par des membres mécontents d’organisations bien informées qui ne sont pas favorables à la Grande Réinitialisation.

L’élan s’est perdu.

Les cinglés ont été priés de rentrer chez eux et de se taire, et les grands patrons (je ne sais pas qui ils sont) ont demandé une remise à plat. Un nouveau plan pour obtenir le même résultat – la « sinisation » de l’Occident.

C’est à ce moment-là que le scénario de guerre a été élaboré – au cours du printemps/été 2021. J’ai été témoin de cette partie qui s’est déroulée en partie.

Le raisonnement était que l’une des principales faiblesses de la tentative précédente était le niveau de coopération évident entre les dirigeants mondiaux, laissant les masses avec un ennemi commun trop évident – les dirigeants eux-mêmes. Des gens comme Trudeau et la Néo-Zélandaise ont été effrayés. Pas du tout.

Un scénario de guerre a été privilégié pour la tentative n°2 car il activerait les instincts ataviques de loyauté tribale et jouerait sur des préjugés géopolitiques cultivés depuis longtemps.

(Poignée de main maçonnique avec Kissinger)

Cette proposition a été soumise à la clique dirigeante de Moscou (non, pas Poutine, il ne fait qu’approuver en bloc ces jours-ci) qui était d’accord.

LA GUERRE FROIDE

Je suppose que certains savent que la guerre froide a été créée comme une expérience psychologique dans l’immédiat après-guerre et qu’elle s’est avérée très instructive et utile pour la gestion des foules, le contrôle de l’attention et l’incitation à la peur. Les deux côtés du fossé artificiel ont bien sûr été soigneusement gérés, les histoires élaborées, les crises générées pour créer un réalisme maximal et induire des loyautés à long terme, des préjugés et des réactions traumatiques qui s’avéreraient multigénérationnelles.

La guerre froide en tant qu’outil de gestion des masses a été abandonnée dans les années 1980 au profit de l’expérience de l’hédonisme et de l’ignorance inculquée, qui n’a pas été particulièrement efficace pour créer une psychologie de masse.

L’échec de la pandémie à créer un point d’entrée pour le Great Reset a persuadé les élites de revenir au modèle antérieur.

Il a été convenu au cours de l’été 2021 de poursuivre un programme de guerre/guerre froide, en utilisant les biais existants et la longue histoire des tensions entre l’OTAN et le PM pour créer un nouveau point d’entrée pour la Grande Réinitialisation qui avait une meilleure chance de s’enraciner.

Le « flashpoint » de longue date et soigneusement cultivé de l’Ukraine, avec sa polarisation intégrée et son potentiel de traumatisme collectif (images d’insignes nazis) a été choisi par rapport à la Syrie comme étant plus puissant dans son effet potentiel sur le public occidental (la cible initiale de cette opération comme indiqué ci-dessus).

Il a été convenu d’inculquer des associations subconscientes et conscientes avec la Seconde Guerre mondiale ainsi qu’avec la Guerre froide.

Des récits conflictuels et à forte résonance émotionnelle seraient bien sûr utilisés et soigneusement implantés de sorte que – comme dans l’expérience originale de la Guerre froide – aucun des deux camps n’ait un ascendant moral clair et que, par conséquent, les préjugés personnels des individus puissent être utilisés pour faire le gros du travail d’attribution de valeur et de loyauté…

« Que les vrais leaders se lèvent ! »

L’Ukraine serait présentée comme une victime, tout en diffusant des images inquiétantes des néonazis préservés en leur sein par les médias traditionnels.

La Russie serait présentée comme l’agresseur, tandis que sa propre histoire de victime serait largement diffusée par ses propres médias et par des médias « indépendants ».

Cela fournirait un support de croissance riche pour une controverse polarisée.

Il a été convenu que l' »opération » de la Russie (ses militaires refusent de l’appeler une guerre pour des raisons qui leur sont propres) serait limitée, qu’elle serait principalement dévolue aux diverses milices locales de l’Ukraine orientale et qu’elle resterait aussi discrète et symbolique que possible.

Il a également été convenu qu’il était souhaitable qu’il n’y ait pas de résolution ou de résultat clair pendant au moins 12 mois, afin de laisser le temps aux autres aspects d’être déployés par ce nouveau moyen.

Il a été convenu que la première tentative avait été trop rapide. Le temps sera pris pour cette deuxième tentative.

La crainte d’une escalade et d’une guerre nucléaire serait promue directement dans les médias et par des fuites ou des rumeurs.

Le sabotage et les sanctions seraient lentement déployés pour créer des pénuries d’énergie, des pénuries alimentaires et des augmentations de prix.

Ce qui nous amène à aujourd’hui.


Junior
29 sept. 2022 11:58 AM

Réponse à Junior
Je poste ceci en tant que réponse puisque ma première tentative a été mise en attente.

À un moment donné dans un avenir proche, deux options sont jouées et, pour autant que je sache, aucune décision ferme n’a encore été prise.

OPTION 1

Un échange nucléaire limité ou accidentel en Europe. Probablement simulé. Zone bouclée, évacuée. Chaos. Rupture de la chaîne d’approvisionnement. Il est prévu qu’à ce stade, l’esprit de masse sera suffisamment inculqué par l’imprégnation émotionnelle et les réactions de peur pour que l’acceptation généralisée des « mesures d’urgence » soit bien accueillie.

Les mesures d’urgence incluront des injections obligatoires, des interdictions strictes de voyager, le rationnement.
Ces mesures deviendront permanentes.

Ce scénario aboutira à une guerre froide avec un nouveau rideau de fer numérique. À l’inverse de la version précédente, la partie occidentale aura le niveau de vie le plus bas et un indice de liberté relativement faible, mais cela s’équilibrera avec le temps, à mesure que les cultures occidentales perdront leur dépendance aux formes d’individualisme les plus « toxiques » et « destructrices » (leurs mots).

OPTION 2 –

Une guerre nucléaire à grande échelle est évitée de justesse et, à la suite de cela, un gouvernement mondial multipolaire est « exigé » par les médias pour éviter qu’elle ne se reproduise, ce qui entraîne, comme prévu et comme prévu, un flot d’amour pour la Terre Mère conduisant à des actions semi-volontaires de préservation de la Terre, telles que le rationnement du carbone, les restrictions de voyage (par le biais de crédits), des coûts de carburant et de nourriture « réalistes », le réensauvagement.

Toute combinaison des options 1 et 2 reste possible en septembre 22. Les deux options sont en train d’être manipulées au moment où j’écris ces lignes.

Soyez avertis et observez attentivement. Ces personnes veulent réussir cette fois-ci à tout prix. Certains d’entre eux sont fous et tous

sont malades et maléfiques.


Merci à KS

Source : https://henrymakow.com/2022/09/ukraine-provides-new-route-great-reset.html

Traduction : https://exoconscience.com

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