Les faits :
De multiples sources montrent que ce que nous appelons « matière noire » pourrait en fait représenter le vide quantique, une « substance » qui pourrait constituer la grande majorité de notre univers.
Il s’agit d’une force invisible, sans masse, ni solide ni liquide, qui peut être utilisée pour contribuer à rendre notre monde meilleur.

Réfléchissez-y :
L’esprit collectif pourra-t-il un jour s’ouvrir à la science qui confirme la réalité des principes métaphysiques et spirituels ?
En dépit de résultats statistiquement significatifs dans divers domaines, la science qui entre en conflit avec des systèmes de croyance de longue date a encore du mal à voir le jour.

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Qu’est-ce que la matière noire ? Le courant dominant y fait référence comme à une forme « hypothétique » de matière, et cette rhétorique semble dominer le monde universitaire, bien que de nombreux universitaires et autres personnes aient démontré que les substances non matérielles comme la « matière noire » devraient être considérées comme une forme réelle de matière.

Selon la NASA,

• « Il y a plus d’inconnu que de connu. Nous savons combien d’énergie noire il y a parce que nous savons comment elle affecte l’expansion de l’univers. En dehors de cela, c’est un mystère complet. Mais c’est un mystère important. Il s’avère qu’environ 68% de l’univers est constitué d’énergie sombre. La matière noire représente environ 27%. Le reste – tout ce qui se trouve sur Terre, tout ce qui a été observé avec tous nos instruments, toute la matière normale – représente moins de 5 % de l’univers. En y réfléchissant, on ne devrait peut-être pas appeler la matière « normale » du tout, puisqu’elle représente une si petite fraction de l’univers. »

L’espace vide n’est pas vide

D’autres sources postulent que cette matière noire constitue 90 % de notre réalité, et c’est logique. Il suffit de regarder l’atome, le plus petit morceau de matière observable, c’est de lui que tout le reste est composé. Un atome est presque entièrement vide, à plus de 99 % pour être exact. Et le pompon ? Cet espace vide n’est pas inutile, et d’après ce que nous savons maintenant, l' »espace vide » n’est pas vraiment « vide » du tout. C’est pourquoi j’ai souligné l’importance, dans plusieurs de mes articles précédents, de cette célèbre citation du physicien théoricien John Wheeler : « Aucun point n’est plus central que celui-ci, à savoir que l’espace n’est pas vide, il est le siège de la physique la plus violente.« 

Si vous avez étudié la matière noire, vous savez peut-être aussi que ce que les scientifiques appellent le vide quantique peut être confondu avec la matière noire ou l' »énergie noire ». Aussi connu par certains comme « éther » ou « aether ».

• « L’espace n’est en fait pas vide et il est plein d’énergie… L’énergie dans l’espace n’est pas anodine, il y en a beaucoup et nous pouvons en fait calculer combien d’énergie il y a dans cet espace et que la réalité pourrait en fait en sortir. Tout ce que nous voyons émerge en fait de cet espace. »

• Nassim Haramein

Cette idée a été illustrée il y a des décennies avec « l’effet Casimir« , qui démontre ce que l’on appelle l’énergie du point zéro. Aujourd’hui, nous commençons à voir que ces concepts ne sont pas seulement théoriques, mais au contraire, très pratiques. C’est pourquoi il est intéressant de souligner comment de multiples scientifiques ont exprimé l’idée que ce qui est matière noire pourrait en fait être confondu avec cette « énergie du point zéro » ou « éther ».

Prenez par exemple ce document non classifié de la Defense Intelligence Agency intitulé « Warp Drive, Dark Energy & The Manipulation of Extra-Dimensions », écrit et préparé pour l’agence par les physiciens chercheurs principaux Richard K. Obousky, Ph.D. et Eric W. Davis, Ph.D. Là encore, l’existence du vide n’est pas considérée comme anodine :

En ce qui concerne l’énergie sombre, le document indique ce qui suit :

Les phrases clés ici sont : « Nous ne comprenons pas pourquoi elle existe ou comment elle est créée ; nous savons simplement qu’elle fournit une force omniprésente sur l’espace-temps, provoquant l’expansion de l’univers. En effet, de récentes observations expérimentales de haute précision indiquent que l’énergie noire pourrait être une énergie du vide cosmologique.« 

Certains l’appellent l’éther

Nikola Tesla était très conscient de cette substance/force au début du 20ème siècle :

• « Toute la matière perceptible provient d’une substance primaire, ou ténuité au-delà de toute conception, remplissant tout l’espace, l’akasha, ou éther luminifère, sur lequel agit le Prana ou force créatrice vivifiante, appelant à l’existence, dans des cycles sans fin, toutes les choses et tous les phénomènes. »

• Nikola Tesla, La plus grande réalisation de l’homme, 1907

Il croyait également que l’éther serait un jour utilisé pour générer de l’énergie, et il avait raison. Nous y reviendrons plus tard dans l’article, avec des exemples.

• « Avant que de nombreuses générations ne passent, nos machines seront actionnées par une puissance que l’on peut obtenir en tout point de l’univers. Cette idée n’est pas nouvelle… Nous la retrouvons dans le délicieux mythe d’Antée, qui tire son énergie de la terre ; nous la retrouvons dans les subtiles spéculations de l’un de vos splendides mathématiciens : ….. Dans tout l’espace, il y a de l’énergie… ce n’est qu’une question de temps quand les hommes réussiront à attacher leurs machines à la roue même de la nature. »

• Nikola Tesla, Journal de l’Institution des ingénieurs électriciens.

En fait, il était l’un des nombreux chercheurs à avoir étudié l’éther et sa relation avec ce que nous percevons comme la matière physique. Dans l’Antiquité, Platon faisait référence à l’éther. Voici un extrait de son oeuvre Phaedo :

• « Et sur la Terre il y a des animaux et des hommes, les uns dans une région moyenne, les autres (élémentaux) habitant autour de l’air comme nous habitons autour de la mer ; les autres dans des îles que l’air contourne, près du continent ; et en un mot, l’air leur sert comme l’eau et la mer nous servent, et l’éther est pour eux ce que l’air est pour nous. »

Voici une autre citation intéressante de ce texte ancien :

• Ils permirent à Apollonios de poser des questions ; il leur demanda de quoi ils pensaient que le cosmos était composé ; mais ils répondirent : « D’éléments. »

• « Y en a-t-il donc quatre ? » demanda-t-il.

• « Pas quatre, » répondit Larchas, « mais cinq. » « 

• Et comment peut-il y avoir un cinquième, » dit Apollonios, « à côté de l’eau et de l’air et de la terre et du feu ? »

• « Il y a l’éther. »

Même René Descartes a proposé la théorie selon laquelle  » l’espace  » (ce que nous percevons comme un espace vide) est entièrement rempli de matière dans différents états. Il existe des preuves qui suggèrent qu’il a été exécuté par l’Église parce que sa science entrait dans le domaine de la métaphysique.

La théorie du vortex spatial de Tewari

Ce que Descartes a supposé est exactement ce que la physique quantique examine aujourd’hui. Les mots ci-dessous proviennent de feu Parahamsa Tewari, dont l’article a récemment été publié dans Physics Essays. L’article s’intitule « Structural Relation Between The Vacuum Space and The Electron ». Vous pouvez accéder à l’étude complète ici.

• « Dans un siècle, il sera bien connu que : le vide de l’espace qui remplit l’univers est lui-même le substrat réel de l’univers ; le vide dans un état de circulation devient matière ; l’électron est la particule fondamentale de la matière et est un vortex de vide avec un vide sans vide au centre et il est dynamiquement stable ; la vitesse de la lumière par rapport au vide est la vitesse maximale que la nature a prévue et est une propriété inhérente au vide ; le vide est un fluide subtil inconnu dans les milieux matériels ; le vide est sans masse, continu, non visqueux et incompressible et est responsable de toutes les propriétés de la matière ; le vide a toujours existé et existera toujours… . Alors les scientifiques, les ingénieurs et les philosophes courberont la tête de honte en sachant que la science moderne a ignoré le vide dans sa course à la découverte de la réalité pendant plus d’un siècle. »

• Parahamsa Tewari

Tewari souligne également que la matière noire a été confondue avec ce qu’elle est réellement, comme il le décrit dans sa « théorie du vortex spatial » :

• « Le croquis ci-dessous montre la Terre enfermée dans un vortex de vide. Contrairement aux concepts courants de vide comme étant « l’espace vide », « le rien » et « le vide », la théorie du vortex spatial (SVT) définit le vide absolu comme étant un fluide sans masse, continu et incompressible. Les champs de vitesse dans le substrat sous-jacent (représentés par des flèches directionnelles) créent des forces invisibles qui font tourner la Terre massive autour de son axe et portent également la Lune sur son orbite. »

• « Alors que la Terre est visible, le substrat tourbillonnaire du vide est invisible. Ce substrat invisible d’énergie cosmique, sous et autour de la Terre, est appelé à tort « matière noire ». Toutes les planètes et les étoiles possèdent des tourbillons de vide similaires qui les font tourner axialement. Les tourbillons qui entourent les galaxies impriment une rotation axiale à leurs noyaux, de même que les étoiles qui s’y trouvent sont portées sur des orbites. [René Descartes, mathématicien et philosophe français, a prédit au XVIIe siècle l’existence d’un tourbillon terrestre et de tourbillons cosmiques de fluide sans propriété (l’éther). »

• « Cet article présente une formulation de principes absolus pour le vide-espace qui permettent de révéler le processus de création d’un électron stable et ses propriétés connues de masse et de charge. Les questions fondamentales sur la charge et la masse de l’électron sont dérivées des premiers principes du vortex du vide de la structure de l’électron. Il est également démontré que la génération des champs électrostatiques, électromagnétiques et gravitationnels découle de la structure tourbillonnaire de l’électron. L’électron et le positron ont été identifiés comme étant les particules fondamentales de la matière. »

Ce qui est intéressant chez Tewari, c’est que, à partir de sa théorie, il l’a fait sortir du domaine théorique en créant des machines basées sur cette science, sous la forme d’un générateur électrique. Un prototype de la machine a été testé par Kirloskar Electric, un fabricant de générateurs électriques en Inde. Elle y a montré une efficacité supérieure à l’unité. Vous pouvez regarder une vidéo de la machine ci-dessous. Vous verrez une démonstration de la machine ainsi que des discussions vers la fin de la vidéo avec les ingénieurs de Kirloskar Electric.

• « L’éther doit être, une fois de plus, établi, alors il y aura la compréhension significative de la physique, la compréhension significative de la métaphysique, et la compréhension significative des processus spirituels. »

• Parahamsa Tewari. Comme on peut le voir dans la vidéo ci-dessous.

Implications sur notre compréhension de la réalité

Le plus fou, c’est que cela pourrait expliquer d’où vient la réalité ; selon ces scientifiques et d’autres, elle provient de « l’éther ». La conscience est peut-être la prochaine pièce du puzzle, mais une chose est sûre, cela va bien au-delà de la théorie du big bang.

Ce type de science est énorme et représente ce que nous vivons actuellement, la prochaine révolution scientifique : la reconnaissance de la science non matérielle et sa validation empirique de la spiritualité et de la métaphysique. Il ne s’agit pas de théorie, mais de la démonstration que nous vivons dans un monde spirituel. Notre réticence à accepter cette simple prémisse vient du fait que nous avons été soumis au dogme scientifique pendant longtemps, ce qui nous empêche d’être ouverts à de « nouveaux » concepts de réalité qui ont failli se perdre mais qui sont à nouveau découverts.

Un autre problème est que les découvertes dans ce domaine entrent tout simplement en conflit avec bon nombre de nos croyances de longue date.

Source : https://thepulse.one/2022/07/14/earth-water-air-fire-why-is-the-fifth-element-aether-completely-ignored/

Traduction : https://exoconscience.com