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La vérité nous libérera

Une autre requête FOIA montre que seuls 6 183 décès au Royaume-Uni peuvent être attribués au seul COVID.

Les faits :
Une demande au titre de la loi sur la liberté d’information (FOIA) au Royaume-Uni a été publiée le 17 janvier 2022 concernant les décès dus au COVID en Angleterre et au Pays de Galles.
Elle montre que seuls 6 183 décès dans la région peuvent être attribués uniquement au COVID entre le début de 2020 et la fin de septembre 2021.
La plupart des décès dus au COVID ont de multiples autres causes figurant sur les certificats de décès.


Réflexion : Pourquoi les journalistes ne parlent-ils pas de ce que cela pourrait signifier ? La majorité des personnes décédées du COVID avaient de multiples autres causes inscrites sur leur certificat de décès. Pourquoi n’avons-nous pas adopté un plan de protection plus ciblé pour protéger les personnes vulnérables ?

*

Nous avons récemment publié un article sur une demande de Freedom of Information Act (FOIA) publiée à la fin de l’année 2021 au Royaume-Uni. Les documents officiels du gouvernement indiquaient que 17 371 était le nombre total de personnes décédées du COVID sans aucune condition préexistante en Angleterre et au Pays de Galles entre le début de 2020 et la fin de septembre 2021.

Maintenant, nous sommes tombés sur une autre demande qui a été publiée le 17 janvier 2022 et qui montre qu’il n’y a eu que 6 183 décès causés uniquement par le COVID en Angleterre et au Pays de Galles entre février 2020 et décembre 2021.

Nous essayons de comprendre pourquoi ces deux ensembles de données sont si radicalement différents. Le lieu est le même et le petit nombre a en fait une chronologie plus longue. La seule explication est que le chiffre de 17 371 n’était pas une donnée à jour. Cette demande indique qu’il s’agit de « données préliminaires » alors que la demande de 6 183 ne le précise pas. Cela laisse penser que le communiqué FOIA du 17 janvier 2022 est une représentation plus précise.

Nous avons envoyé un e-mail à l’Office for National Statistics (ONS) au Royaume-Uni pour obtenir des éclaircissements, mais nous n’avons pas reçu de réponse à ce sujet. Nous attendons toujours une autre réponse et nous mettrons cet article à jour si nous en recevons une.

La principale conclusion est que le nombre de décès attribués uniquement à la COVID au Royaume-Uni est exponentiellement inférieur au nombre de décès dont les causes sous-jacentes figurent sur le certificat de décès en même temps que la COVID.

Ce n’est pas une surprise. Aux États-Unis, 95 % des personnes décédées de COVID-19 avaient au moins une comorbidité mentionnée comme cause du décès. La moyenne est de quatre comorbidités. Ici, en Ontario, au Canada, les autorités sanitaires ont admis avoir marqué des décès comme étant des décès dus au COVID alors qu’il n’est même pas clair si le COVID en était la cause.

Par exemple, le ministère de la Santé publique de l’Ontario déclare clairement

  • Tout cas marqué comme « mortel » est inclus dans les données sur les décès. Les décès sont inclus, qu’il ait été déterminé ou non que le COVID-19 était une cause contributive ou sous-jacente du décès.
  • Santé publique de l’Ontario. Comment l’Ontario réagit au COVID-19. Note de bas de page n°7


Le gouvernement a récemment admis qu’environ 50 % des hospitalisations dues au COVID ne sont pas réellement des hospitalisations dues au COVID. Par exemple, une personne peut être admise pour une autre raison et être testée positive au COVID à son arrivée. Ce résultat est ajouté aux statistiques des hospitalisations dues au COVID.

Cela ne signifie pas que les personnes souffrant de pathologies sous-jacentes ne sont pas mortes du COVID, mais que ce n’est pas clair. Par exemple, certains peuvent avoir simplement été testés positifs lors de leur admission à l’hôpital pour leur autre condition sous-jacente et être morts d’une crise cardiaque. D’autres peuvent avoir eu une crise cardiaque qui a été causée par le COVID. Les personnes souffrant de problèmes de santé sous-jacents ont toujours été plus sensibles au COVID et à d’autres virus.

On sait également que la grande majorité des personnes sensibles au COVID et à d’autres virus ont plus de 80 ans. C’est pourquoi un plan de protection plus ciblé aurait été plus approprié, ce que la Déclaration de Great Barrington a préconisé.

Au Royaume-Uni, d’après la requête FOIA publiée fin 2021 mentionnée en haut de l’article, l’âge moyen des personnes décédées uniquement à cause du COVID était de 82,5 ans, alors que l’espérance de vie moyenne nationale est de 79 ans pour les hommes et de 82,9 ans pour les femmes.

Le fait que les décès dus au COVID soient marqués comme tels alors qu’ils ne sont peut-être pas dus au COVID est préoccupant, étant donné que le nombre total de décès attribués au COVID est assez important. Nous ne savons tout simplement pas combien de personnes sont réellement décédées à cause du COVID, et non avec le COVID, mais nous savons que ce nombre ne peut qu’être inférieur à ce qu’indique le décompte « officiel » des décès.

Ceci, ainsi que le fait que le COVID ne présente pas de risque pour les enfants, sont des sujets importants qui n’ont pas vraiment été abordés pendant la pandémie dans les médias grand public et par les décideurs politiques.

Source : https://thepulse.one/2022/01/26/another-foia-request-shows-only-6183-uk-deaths-can-be-attributed-to-covid-alone/

Traduction : https://exoconscience.com


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