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(Vidéos) La musique, instrument du contrôle des foules

On fait dire à Platon : « Si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique ». En 1981, Jack Lang alors ministre de la Culture de Mitterrand crée la fête de la Musique. Quand en 1983 Mitterrand lance SOS Racisme par un grand concert place de la Concorde, il est conseillé par Attali, accessoirement chef d’orchestre et auteur du livre Bruits (1977), un essai sur l’économie politique de la musique.

En 1940, le pouvoir de la musique avait été très bien illustré par le dessin animé de Disney, Fantasia, où Mickey tient l’emploi de L’Apprenti sorcier, sur la musique composée par Paul Dukas (1897).

Pour l’apprécier, il faut regarder la vidéo.

Le lien est dans la présentation de l’émission :

Rien de bien nouveau, puisque Jean-Jacques Rousseau, référence des révolutionnaires, avait déjà remarqué que « si notre musique a peu de pouvoir sur les affections de l’âme, en revanche, elle est capable d’agir physiquement sur les corps »1.

Le besoin de musique vient de la phobie naturelle du silence. Placé dans une chambre anéchoïque, l’individu n’entend plus que les bruits de son propre corps (respiration, battements du cœur, digestion…), il perd l’équilibre et le sens de l’orientation. On considère qu’il n’est pas possible de dépasser un séjour de 45 mn dans ce local. Si le silence est nécessaire à la réflexion, le silence absolu est insupportable et le son est donc indispensable à la vie.

La vie ordinaire est remplie d’habitudes plus ou moins conscientes et choisies (des conditionnements). L’éducation avec ses apprentissages est un conditionnement nécessaire, et même indispensable. On en retrouve dans l’armée avec l’ordre serré et la pratique du chant ; dans la religion puisque la prière est aussi un conditionnement de l’esprit.

Les travaux scientifiques sur le conditionnement débutent avec les études sur le système nerveux de Charcot, puis ceux de Pavlov et de Freud. Le conditionnement des individus a été tenté avec les techniques de lavage de cerveau utilisées depuis la guerre d’Espagne à celle d’Indochine, jusque dans le programme MK-Ultra de la CIA.

Le contrôle social est un vieux fantasme des dirigeants politiques. Si les travaux sur la fabrique du consentement sont originaires de Californie et la technologie informatique de la Silicon Valley, les Chinois, avec leur adaptation du marxisme, sont actuellement les plus avancés dans son exploitation. La récente « pandémie » a montré que l’Occident veut suivre ce modèle. En fait, il est déjà très avancé puisque la musique participe à ce conditionnement collectif, aussi efficacement que le moyen est anodin.

Alors que la production de titres à succès est coûteuse, écouter de la musique est quasiment devenu gratuit, comme dans les lieux publics, la restauration, les centres commerciaux, sur internet, et l’offre n’a jamais été aussi abondante. Ce n’est pas par philanthropie.

Aujourd’hui, tout le monde peut écouter la musique qu’il veut, mais qui se préoccupe de savoir pourquoi il a sélectionné ce qu’il entend ? Pourtant, cette question fondamentale renvoie directement au rôle de la musique. La technologie l’a rendue omniprésente au point d’altérer nos capacités auditives. La prolifération des magasins d’audioprothésistes montre une incapacité à gérer sanitairement le son.

Quelques extraits de chansons vont illustrer la présentation. Ils sont en partie tirés des classements des plus grands succès d’après le magazine Rolling Stone et la plate-forme de streaming Spotify. Sans entrer dans les détails, on n’y retrouve quasiment que de la chanson anglo-saxonne, étasunienne en grande majorité et postérieure à la 2ème GM. Il faut y ajouter Gangnam Style de Psy (2012), illustrant l’arrivée de la culture asiatique et Get Lucky du groupe français Daft Punk. La majorité des titres est postérieure à la commercialisation du microsillon, c’est-à-dire de la diffusion de la musique de masse. Ils traduisent une hégémonie culturelle planétaire qui n’a rien d’esthétique.

On écoute un extrait de Billie Jean de Michael Jackson :

Technologie, enregistrement et amplification

La musique a envahi nos vies, tout en étant complexe à définir, rendant ainsi compte de sa spécificité par rapport aux autres arts. Elle est d’abord un moyen d’agir sur les émotions. Son autre rôle est d’entretenir les liens entre les individus d’une même communauté, de les harmoniser. Le chant col- lectif est un moyen d’expression témoignant de la spécificité d’une collectivité en même temps qu’il sert à mettre en phase ceux qui l’interprètent. Les dirigeants, leurs opposants et les divers représentants des communautés ont toujours utilisé la musique pour augmenter leur influence, essentiellement en agissant sur les paroles des chansons.

Elle est devenue un outil totalitaire avec l’industrialisation de la musique permise par l’enregistrement. En effet, il est indispensable d’opérer la distinction fondamentale entre la musique vivante2 et la musique morte, car figée dans l’enregistrement.

Généralisée dans les décennies qui ont suivi la 1ère Guerre Mondiale, la technologie a joué un rôle sous-estimé dans l’avènement des régimes totalitaires. Lénine affirmait que « le communisme, c’est les soviets plus l’électricité », paraphrasé par Hitler disant « sans le haut-parleur, nous n’aurions jamais conquis l’Allemagne ». L’amplification rend possible les rassemblements de masse. Les révolutionnaires ont échoué sur le Champ-de-Mars, faute de moyens technologiques pour se faire entendre, le NSDAP réussit parfaitement à Nuremberg grâce à l’amplification. Les États-Unis sont à l’avant-garde avec le major-général Squier et sa Muzak destinée à augmenter les achats dans les magasins et la production dans les usines. L’enregistrement et l’amplification du son inaugurent l’ère du contrôle des foules. Le totalitarisme actuel n’a plus besoin d’être institutionnel, il lui suffit de passer par la musique.

La technologie, avec l’enregistrement et la radio, révolutionne le rapport des individus et des sociétés à la musique et au son. D’une pratique naturelle et vivante dans une écoute collective, l’enregistrement permet une écoute artificielle individuelle, corrosive pour les liens sociétaux entretenus traditionnellement par la musique.

Il suffit d’avoir pratiqué les danses collectives ou le chant à plusieurs pour percevoir l’impact de la musique dans l’harmonisation des communautés. Pour chanter à plusieurs, les voix doivent s’équilibrer. Individuellement, les sons émis par les cordes vocales font résonner les parties creuses de l’organisme et vibrer le squelette exerçant une action sur le psychisme. Collectivement, les individus entrent en phase et la musique exerce un rôle d’harmonisation du groupe. Ces processus ne sont fonctionnels qu’avec les musiques naturelles, vivantes, c’est-à-dire ni amplifiées ni enregistrées. Ils sont détournés par les musiques enregistrées. Les festivals, concerts, techno-parade et autre raves-parties sont parmi les plus grands rassemblements de populations, créant des émotions collectives marquant le psychisme des individus pour la vie.

On écoute Lili Marleen, la chanson qui a fait le tour du monde à son époque par l’enregistrement et la radio, sans influer sur l’issue de la guerre :

Les techniques traditionnelles

Apparemment anodine et profitable, la technologie, avec l’enregistrement et l’amplification, a radicalement transformé le rôle de la musique, exploitant son impact sur le psychisme pour en faire un outil de contrôle des masses. Chacun croit écouter ce qu’il veut sans se demander pourquoi il a sélectionné ce qu’il entend. De même qu’il a fallu prendre conscience que les produits alimentaires industriels pouvaient contenir des éléments toxiques, il est nécessaire de s’interroger sur le rôle des enregistrements que diffuse l’industrie musicale.

En fait, l’écoute de musique avec des écouteurs est un moyen anodin de se couper du monde, d’échapper à la réalité. Pour le professeur Gary Gumpert du Queens College de New York, la musique est « une sorte de liquide amniotique qui nous entoure sans jamais nous surprendre, jamais trop forte, jamais trop silencieuse, et toujours présente »3.

L’action sur le psychisme est une conséquence de l’enregistrement. La chanson passée en boucle dans un enregistrement identique – antérieurement sur les radios, maintenant par n’importe quel support – est gravée dans les mémoires, agissant comme un véritable envoûtement. N’importe quel McDo musical finit par s’imposer par cette méthode, ce qui était impossible avant l’enregistrement. Cette répétition sonore génère des émotions que l’individu veut retrouver dans les enregistrements. Ces émotions sont amplifiées quand la technologie permet de faire entrer des foules en transe. Rien de nouveau, ce n’est qu’un recyclage d’usages relevant de la magie, communs aux sociétés traditionnelles4. Elles utilisent les techniques de conditionnement mental depuis toujours pour soigner les individus et entrer en contact avec les esprits. Elles sont encadrées par un homme de l’art (sorcier, chamane, homme-médecine…) qui utilise les effets psychiques du rythme et de la musique dans le cadre d’activités rituelles et sacrées traditionnelles.

On écoute l’ambiance sonore d’une cérémonie au Bénin, pays d’origine du vaudou. Pour ceux qui seraient déçus de la qualité de la prestation, il faut bien concevoir que ces techniques traditionnelles sont opérationnelles dans ces conditions primitives. On peut donc mesurer comment leur efficacité est décuplée avec les techniques actuelles.

Des sorciers du son

Les techniques traditionnelles sont tout simplement reprises par des DJ sans formation psychique ni médicale particulière. Les musiques répétitives, essentiellement la techno mais pas uniquement, conduisent à un état hypnotique en augmentant la pression artérielle et en perturbant le système neurovégétatif, comme l’a montré le Dr Nghiem5. Ces musiques sont un montage de pistes sonores sur un rythme variant environ de 120 à 140 BPM (battements par minute), permettant à des danseurs de tenir toute une nuit, voire davantage. Installant ses platines à leur contact, le DJ est capable d’apprécier les effets sonores pour combiner soigneusement rythmes, harmonies et éclairages. La technologie collectivise ainsi l’entrée en transe, appelée aussi « états modifiés de conscience », certains psychologues évoquent un retour à l’état anténatal. En recyclant ces techniques primitives, c’est l’ensemble de la société qui est littéralement envoûtée à des degrés divers.

Comme dans les techniques traditionnelles, des psychotropes sont utilisés pour accroître les effets sonores. Les effets conjugués de la musique et des drogues sont amplifiés par le groupe, l’objectif étant d’échapper à la réalité pour ressentir une fusion sociale collective donnant l’illusion d’appartenir à une communauté.

Les teufeurs des raves-parties sont une minorité au regard des auditeurs de ces musiques qui peuvent réunir des centaines de milliers de personnes dans les grandes villes occidentales. Créée en 1998 à Paris par Jack Lang, la Techno Parade rassemble environ 300 000 participants chaque année. Celle de Berlin dépasse le million, et a initié le concept dès 1989. Des Français comme David Guetta, Bob Sinclar ou Daft Punk sont parmi les principaux animateurs de ces immenses festivités musicales. Ces techniques conduisent les jeunes auditeurs à devenir dépendants de ces musiques, et à passer ainsi sous le contrôle mental de ces modernes sorciers du son.

On écoute Get Lucky de Daft Punk :

Industrie musicale

Ces techniques permettent de conditionner les choix musicaux de la jeunesse pour ensuite imprégner inconsciemment les individus durant toute leur existence, d’autant plus que la question de l’origine des choix n’est jamais évoquée.

L’avènement de la société de consommation est aussi celui de la diffusion d’enregistrements et des moyens d’écoute au plus grand nombre. Le microsillon et le tourne-disque à la portée de tous offrent à chacun la possibilité d’écouter ce qu’il veut. La radio et ses programmes sont surclassés. Après la 2ème GM et tout spécialement au début des années 1960, la jeunesse est visée par cette évolution de la société, des produits de consommation musicaux lui sont spécialement destinés. L’objectif culturel est stratégique, le musicologue Philippe Beaussant signale que « l’histoire nous apprend que le goût et la sensibilité d’un homme […] évoluent généralement peu, c’est dans sa jeunesse qu’ils se fixent à jamais »6. Profitant des changements naturels de la période de l’adolescence, ces musiques visant spécialement la jeunesse vont l’inciter à l’affrontement avec les parents : « je n’écoute pas de la musique de vieux ! », créant un conflit artificiel entre les générations et fracturant la famille, cellule de base de la société. Ce moyen est d’autant plus efficace qu’il ne véhicule pas d’idéologie, mais un style de vie et qu’il émerge en s’appuyant sur la chanson anglo-saxonne au moment où la réforme liturgique de Vatican II opère une véritable rupture mémorielle en reléguant le grégorien, répertoire liturgique millénaire et socle musical de la civilisation européenne.

En agissant sur les jeunes générations, la musique sert à promouvoir un nouveau mode de vie (amour libre, contraception, drogue, société de consommation…). Le mode opératoire est culturel et le débat est inutile en musique, particulièrement avec l’enregistrement où ce n’est plus la qualité qui compte, mais la répétition. Chacun peut alors s’enfermer dans une bulle musicale en se coupant du réel et en se rapprochant virtuellement de ceux auxquels il veut s’identifier.

Pour donner l’illusion que des liens collectifs sont entretenus, les plus grands rassemblements des sociétés occidentales sont devenus les concerts (festivals, techno-parades, raves-parties…). Mais l’auditeur d’un concert de musique amplifiée est seul au milieu de la foule. Il peut hurler, il ne sera pas entendu de son voisin. Tous ces rassemblements font la promotion du même modèle de société, même au temps du Rideau de Fer, les groupes anglo-saxons étaient invités à se produire à la Fête de l’Huma.

Un extrait de Smells Like Teens Spirit, le titre emblématique du groupe Nirvana :

Le modèle de ces grands festivals de musique destinés à la jeunesse avait été lancé par celui de Woodstock en 1969. Malgré une affluence qui fait sombrer l’organisation dans le chaos, l’événement devient légendaire et la musique amplifiée devient un moyen de promotion de la « contre- culture »7.

Promoteur de la musique électronique, Jean-Michel Jarre rassemble un million de spectateurs8 sur la place de la Concorde le 14 juillet 1978. En 1981, il est le premier Occidental à donner des concerts en Chine depuis Mao, l’ouvrant ainsi aux nouvelles musiques.

En juillet 1985, la campagne Band Aid est l’occasion de deux énormes concerts à Philadelphie (USA) et au stade Wembley (GB), avec enregistrement d’un disque auquel participent les grands noms de la chanson anglo-saxonne de l’époque. Trois millions d’exemplaires de ce disque sont vendus en faisant la deuxième vente de tous les temps. Initiateur de la campagne humanitaire, Bob Geldof reçoit l’Ordre de l’Empire britannique. L’attribution de cette décoration doit être interprétée comme l’institutionnalisation du rock’n’ roll jusque-là accusé de pervertir la jeunesse avec le sexe et la drogue et ainsi devenu un vecteur d’influence officiel. D’autres grandes campagnes dites humanitaires – contre la faim, l’apartheid, la drogue, le sida, le racisme… – permettent d’intégrer la jeunesse aux projets mondialistes9. Alors qu’il n’avait plus organisé de concert depuis près de 20 ans, SOS Racisme, réunit un million de personnes10 sur le Champ-de-Mars, un an avant l’élection présidentielle de 2012. Ce concert pour l’égalité se veut aussi « un point de départ pour la mobilisation au cours des mois à venir, jusqu’à mai 2012 »11. Si la jeunesse se désintéresse de la politique, les politiciens ont bien compris comment utiliser la musique pour la conditionner, et comment y associer les artistes pour relayer plus efficacement leurs messages.

En 2014, Pascal Nègre, PDG d’Universal Music France, répondait dans Marianne12 à la question de savoir s’il avait déjà refusé une maquette parce qu’elle était politiquement engagée : « Non, jamais. La seule chose que je ne pourrais pas commercialiser ce serait des trucs racistes, homophobes, antisémites, ça jamais, je ne peux pas ! Après… dis ce que tu veux, fais ce que tu veux. Il y a une liberté complète de création, je suis à l’aise pour vous le dire ». La contestation limitée au cadre légal, un concept totalitaire.

La musique est un agent d’influence d’autant plus efficace qu’il est anodin, généralisé, et facilement contrôlable. Car la musique est sous contrôle : les organisateurs des grandes festivités musicales doivent obligatoirement passer par les autorités politiques pour obtenir les autorisations de rassembler des foules. Les artistes deviennent les agents du message diffusé et ce message fait toujours la promotion du mondialisme ou de ses avatars. Les musiciens opposés ou faisant la promotion d’une identité nationale sont interdits et ceux qui résistent sont traqués par les antifas. L’illusion fonctionne : en 2017 pour les funérailles de Johnny, il y avait 1 million de personnes et 15 millions de téléspectateurs.

On écoute un extrait d’Oxygène, de Jean-Michel Jarre :

Les moyens informatiques ont mis la musique à la portée des techniciens. Plus besoin d’apprendre le solfège et de suivre des années de formation pour maîtriser un instrument. Les logiciels mettent la création sonore à la portée de n’importe quel clavier. Faisant table rase du passé et de plus d’un millénaire de compositions, un technicien agile ignorant tout du solfège et des principes de la composition peut acquérir plus de notoriété qu’un compositeur comme Mozart, Beethoven ou Wagner. Les filtres de la compétence et des repères culturels ont disparu, seul subsiste l’effet sur l’individu et les masses. Qui se préoccupe de l’origine de la musique qu’il écoute ? En combinant la sorcellerie et la technologie, les « troupes d’occupation culturelle » ont éliminé leur adversaire en le persuadant qu’elles n’existent pas. Il devient d’autant plus urgent de prendre conscience de ces mécanismes psychiques pour se débarrasser de leurs influences et du projet de société qu’elles imposent. En mettant à jour ces mécanismes, les auditeurs de cette émission disposent maintenant de la clé pour résister, pour ne plus subir les sortilèges technologiques tel Mickey jouant à l’apprenti-sorcier dans Fantasia.

L’impact des ondes et le choix des fréquences

envoyé par Vladimir Tchernine

Source : https://reseauinternational.net/la-musique-instrument-du-controle-des-foules/

  1. Rousseau Jean-Jacques, Dictionnaire de la musique, art Musique, dans Œuvres complètes, 5, Paris, Gallimard (La Pléiade),1995, p. 922.
  2. Le vocable « spectacle vivant » désigne l’ensemble des spectacles « produits ou diffusés par des personnes qui, en vue de la représentation en public d’une œuvre de l’esprit, s’assurent la présence physique d’au moins un artiste du spectacle ». La danse, la musique, le théâtre, dans toute la diversité de leurs formes (opéra, musique de variété, chorales, fanfares, cirque, arts de la rue, conte, ..), appartiennent au spectacle vivant, par opposition au spectacle enregistré (cinéma-audiovisuel). https://www.culture.gouv.fr/Spectacle-vivant-musique-danse-theatre-Pole-Creation
  3. Juliette Volcler, « Contrôle. Comment s’inventa l’art de la manipulation sonore », La Découverte, 2017, 49.
  4. Gilbert Rouget, « La Musique et la transe », Gallimard, 1980, 498
  5. Minh Dung Nghiem, « La violence des jeunes et le cerveau reptilien », Consep, 2002, 124 pages.
  6. Philippe Beaussant, « Histoire de la musique occidentale », sous la direction de Jean et Brigitte Massin, Fayard, 1995, 536.
  7. Joseph Heath, Andrew Potter, « Révolte consommée, le mythe de la contre-culture », L’échappée, 2020, 364
  8. Le chiffre semble surévalué.
  9. En 2005, Serge Halimi expliquait dans « Les Nouveaux Chiens de garde » (Liber-Raisons d’agir) : « Les médias adorent relayer ces grandes causes associant tout et chacun sans déranger rien ni personne. Le consensus « humanitaire » a la même utilité que les « débats » entre journalistes. Ils brassent du vent pour détourner l’orage ».
  10. Le chiffre semble surévalué.
  11. Aline Le Bail-Kremer, responsable de la communication de SOS
  12. Marianne, n° 905, 24 août
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