(2016) L’affirmation sensationnelle de William Tompkins, ingénieur aérospatial à la retraite (Ps: mort en août 2017 le jour de l’éclipse solaire), selon laquelle il aurait été impliqué dans une opération secrète menée dans l’Allemagne nazie, qui aurait fourni des renseignements sur des véhicules antigravité ayant contribué au lancement d’un programme spatial secret de la marine américaine, vient d’être renforcée par des documents récemment obtenus dans le cadre de la loi sur la liberté d’information (FOIA).
Un certain nombre de ces documents confirment que la signature figurant sur deux laissez-passer fournis par Tompkins, qui affirme avoir transporté des paquets de renseignements de la base aéronavale de San Diego sur les engins antigravité nazis vers les installations de recherche aérospatiale américaines, appartenait au contre-amiral Rico Botta.
Un autre document FOIA, ainsi que l’un des laissez-passer, corrobore l’affirmation de Tompkins selon laquelle l’amiral Botta lui a ordonné d’utiliser son avion personnel pour transporter des documents d’information vers des installations aérospatiales américaines de pointe travaillant sur des avions expérimentaux.
Les deux laissez-passer de sortie sont datés du 12 décembre 1943 et du 17 avril 1944 et indiquent respectivement que Tompkins a été autorisé à transporter un et trois colis hors de la station aéronavale. Ces laissez-passer portent une signature qui, selon Tompkins, appartient à l’amiral Rico Botta, qui était le responsable de l’assemblage et des réparations de la station aéronavale.
La signature de Botta, qui apparaît sur un certain nombre de documents FOIA reçus des Archives nationales, correspond à la signature sur les laissez-passer de sortie .
Un exemple de la signature de Botta apparaît sur un dossier personnel de la Marine avec sa photo datant de 1934, lorsqu’il était lieutenant-commandant.
Le graphique suivant montre une comparaison côte à côte du document 1934 avec les deux passages de sortie.
Le Dr Robert Wood, un expert spécialisé dans l’authentification des documents, déclare dans un courriel du 25 septembre que les signatures « semblent identiques ».
Le 26 septembre, je me suis entretenu par téléphone avec Dan Willis, qui a travaillé à la station de communication navale de San Francisco pendant une période de service entre 1968 et 1971, et a ensuite travaillé pendant 13 ans au Naval Electronic Communication Engineering Center de San Diego. Il avait également souvent visité la station aéronavale de San Diego où son père a travaillé pendant 20 ans.
Willis a déclaré que les deux laissez-passer possédés par Tompkins sont décrits comme des « chits » par la Marine. Willis a expliqué que la signature en bas à droite des deux laissez-passer était celle de l’officier ayant initialement autorisé le laissez-passer. La signature à gauche était l’officier ayant donné l’autorisation finale.
Willis a confirmé qu’il s’agissait très probablement du tampon de signature de l’amiral Rico Botta. Cela signifie que les colis transportés par Tompkins ont été approuvés pour le transport hors site par l’amiral lui-même, qui était au sommet de la chaîne de commandement de l’installation d’assemblage et de réparation de la station aéronavale qui, à la fin de la guerre, comptait plus de 10 000 personnes.
De manière significative, les mots écrits à la main sur le laissez-passer du 17 avril 1944, « Four [For] Issue of Non-Combat Airplane » (Quatre [pour] l’émission d’un avion non combattant) font très probablement référence à un avion privé que Tompkins pourrait utiliser pour livrer son ou ses colis.
Dans son livre, Tompkins dit qu’il a eu accès au plus petit des deux avions qui étaient à la disposition de l’amiral Botta. Tompkins explique ensuite qu’il a utilisé l’avion pour transporter les dossiers d’information vers les différentes installations aérospatiales où il a participé à la recherche de technologies liées aux extraterrestres :
- A conduit l’avion de l’amiral à Douglas El Segundo, Lockheed Burbank et China Lake pendant quatre ans… 1943-1945. A passé beaucoup de temps dans les installations de China Lake à modifier des fusées pour les tester (40 visites) et à travailler sur leurs projets extraterrestres. (Sélectionné par les extraterrestres, p. 427)
L’un des documents FOIA montre qu’à partir du 1er octobre 1942, un mois seulement avant d’être réaffecté à la Naval Air Station de San Diego, le capitaine Botta, alors en poste au Bureau de l’aéronautique, a visité cinq installations de recherche travaillant sur des avions expérimentaux.
Ce document FOIA, publié le 30 septembre 1942, confirme que Botta était directement impliqué dans l’étude des avions expérimentaux, et que cela était lié à sa réaffectation imminente à l’une de ces installations, la Naval Air Station de San Diego, le 22 novembre 1942.
La référence à la Douglas Aircraft Company, qui, selon Tompkins, était fortement impliquée avec la Marine et l’Armée de l’air dans l’étude de la faisabilité de la recherche et du développement de l’antigravité, revêt une importance particulière. Cette coopération a conduit à la création d’un groupe de travail informel composé de deux ingénieurs de Douglas, de deux généraux et de deux amiraux, qui a abouti au lancement du projet RAND au siège de Douglas à Santa Monica, en Californie, en octobre 1945.
En ce qui concerne la référence au grade de capitaine de Botta dans le document FOIA du 30 septembre 1942, dans un article précédent, un document du Sénat a été fourni confirmant qu’en 1946, Botta avait été rétroactivement promu au rang de contre-amiral à partir de juin 1943, sur la base de ces responsabilités en temps de guerre. Les documents FOIA fournissent des documents supplémentaires tels que le suivant, signé par le secrétaire à la Marine James Forrestal, au nom du président Truman, confirmant la promotion rétroactive de Botta.
Cela confirme que relativement peu de temps après avoir commencé ses nouvelles fonctions à la tête de l’installation de réparation et de maintenance de la station navale à la fin du mois de novembre 1942, il s’est vu attribuer le grade temporaire de contre-amiral.
Les documents FOIA confirment également que Botta a pris sa retraite en décembre 1952 avec le grade de contre-amiral de classe supérieure (un amiral à deux étoiles) après avoir terminé sa dernière mission en tant que responsable du Naval Air Material Center à Philadelphie.
Tompkins dit que pendant la Seconde Guerre mondiale, il a commencé son service militaire en tant que matelot, ce qui est l’un des rangs les plus bas pour le personnel enrôlé. Il est très inhabituel qu’un homme enrôlé de si bas rang ait des laissez-passer de sortie signés personnellement par le commandant de l’installation.
Il est encore plus improbable que Tompkins, un marin, ait reçu la permission de piloter l’avion de l’amiral Botta pour effectuer les tâches normales assignées à des individus d’un rang aussi bas.
De manière révélatrice, Tompkins a fourni des ordres de mission, qui font référence à son devoir d’être un diffuseur de recherche et d’information sur les avions :
Cela signifie que les missions secrètes assignées à Tompkins étaient considérées comme étant d’une importance vitale pour les efforts de recherche et de développement des avions expérimentaux.
Par conséquent, la confirmation de la signature de Botta sur les laissez-passer de propriété personnelle de Tompkins et la visite de Botta aux installations d’aéronefs expérimentaux juste avant son transfert à la station aéronavale de San Diego, suggèrent trois choses qui sont pertinentes pour les affirmations de Tompkins de servir dans un programme de renseignement secret où il diffusait des dossiers d’information concernant des aéronefs antigravité révolutionnaires.
Premièrement, la signature de Botta confirme que Tompkins effectuait des missions secrètes directement sous l’autorité de Botta.
Deuxièmement, la signature de Botta soutient l’affirmation de Tompkins selon laquelle il faisait partie d’un programme de briefing secret, prétendument avec 29 espions, directement sous l’autorité de Botta, qui fournissait des données de renseignement vitales pour des projets d’avions expérimentaux dans un certain nombre d’installations aérospatiales avancées.
Enfin, Tompkins avait la permission de piloter l’un des avions de l’amiral Botta dans le cadre de missions approuvées pour livrer des dossiers d’information à des installations travaillant sur des avions expérimentaux, dont au moins quatre avaient été visitées par Botta moins de deux mois avant son transfert à la station aéronavale de San Diego.
Cela suggère que les installations de recherche sur les avions expérimentaux étaient prêtes à recevoir Tompkins en tant que représentant autorisé de Botta pour diffuser des informations aérospatiales sensibles.
Par conséquent, les affirmations de Tompkins selon lesquelles il a effectué une mission secrète de diffusion de dossiers de briefing distillés à partir des débriefings de 29 espions de la Navy dans le cadre d’un programme dirigé par l’amiral Rico Botta sont étayées par un certain nombre de documents FOIA. L’affirmation de Tompkins selon laquelle les recherches nazies sur l’antigravité étaient activement étudiées par la marine américaine, ce qui a ensuite conduit la marine à coopérer avec la Douglas Aircraft Company pour concevoir des groupes de combat spatiaux secrets de la marine, est également étayée par les documents FOIA publiés.
Traduction : https://exoconscience.com
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