Note Flo : La dynamique des choses est assez limpide. L’empire américain va continuer de s’effondrer petit à petit durant cette Troisième Guerre Mondiale (économique).
Puis une sorte de Fédération mondiale émergera de ce chaos (artificiellement provoqué) pour remplacer l’ONU de la même manière que celle-ci a remplacé la Société des Nations à la fin de la Seconde Guerre Mondiale.
L’instauration d’une monnaie mondiale et d’une religion mondiale sont également 2 objectifs que poursuivent les mondialistes pour ce nouveau monde post guerre / krach.
Comme une sensation d’être en 1943/44 avant 1945… et d’être en 2006/07 avant le krach financier de 2008…
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Le chef de l’État sud-africain Cyril Ramaphosa, a déclaré que le royaume d’Arabie saoudite, a exprimé son souhait de rejoindre le groupe des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud). Une révélation qui intervient après que le royaume a suscité la colère des États-Unis sur la production pétrolière.
Après un séjour officiel en Arabie saoudite où il a rencontré les plus hautes autorités du royaume, le président d’Afrique du sud, Cyril Ramaphosa, a déclaré à la radio sud-africaine SABC, que « le prince héritier Mohammed ben Salmane Al Saoud a exprimé le désir de l’Arabie saoudite de faire partie des BRICS ». Il convient de noter que l’Arabie saoudite n’est pas le seul pays à vouloir devenir membre des BRICS , plusieurs autres États ont également exprimé le souhait.
Ramaphosa a rappelé que l’Afrique du Sud assurerait la présidence des BRICS en 2023. « L’année prochaine, le sommet des BRICS se tiendra sous la présidence sud-africaine et cette question [de l’élargissement du groupe des BRICS ] sera examinée », a-t-il déclaré. Un certain nombre de pays sont en contact avec les BRICS et nous leur avons assuré que la question de l’adhésion serait discutée et qu’une décision serait prise.
L’intérêt affiché de l’Arabie saoudite pour les BRICS passerait comme une autre nation désireuse d’intégrer un groupe de coopération internationale, si seulement le moment choisi n’était pas révélateur. En effet, cette annonce intervient quelques jours seulement après que le président américain Joe Biden a accusé Ryad de pactiser avec Moscou et a menacé de sanctionner le Royaume.
Des menaces issues du fait que tous les pays membres de l’OPEP+ ont accepté de réduire leur production de pétrole, ce qui va contre les intérêts affichés de Washington pour fragiliser la Russie. Cependant, les pays de l’organisation ont estimé que cette décision n’avait rien de politique et qu’il s’agit d’une question purement technique.
source : Actu Cameroun