Le soleil est un portail pour le voyage spatial hyperdimensionnel basé sur la géométrie sacrée

Le soleil est un portail pour les civilisations spatiales qui utilisent une forme de mathématiques hyperdimensionnelles basées sur la géométrie sacrée, selon le dernier témoignage du dénonciateur du programme spatial secret Corey Goode. Il raconte qu’alors qu’il servait pendant six ans sur un navire de recherche scientifique appartenant au programme spatial Solar Warden, il a assisté au lancement de sondes dans les taches solaires pour étudier la composition et le comportement de l’astre.

Ce qui a été découvert a choqué la communauté scientifique dominante qui croit que le soleil est un générateur géant de fusion nucléaire. Au contraire, il a été confirmé que le soleil était de nature électrique et que ses explosions de plasma servaient de portails aux civilisations spatiales pour entrer et sortir de notre système solaire.

La révélation de Goode a été présentée dans l’épisode d’aujourd’hui (2015) de Cosmic Disclosure, où il est interviewé par David Wilcock sur Gaiam TV. La révélation de Goode soutient le modèle d’univers électrique proposé par un certain nombre de scientifiques alternatifs, dont Wallace Thornhill et David Talbott, auteurs de The Electric Universe.

(Note Flo : les épisodes de Cosmic Disclosure avec Corey ont depuis été censurés par Gaia (possédé par BlackRock) car il a refusé de rentrer dans le moule de la divulgation contrôlée.)

Le modèle de l' »univers électrique » est un modèle astronomique dans lequel le soleil et les planètes sont des objets célestes chargés électriquement, qui existent dans un champ électrique généré par le soleil dans une direction radiale (comme les rayons d’une roue de bicyclette) à travers le système solaire. En outre, le soleil fait partie d’un vaste réseau électrique à l’échelle galactique généré par le centre galactique, également dans une direction radiale. Les charges circulent dans ces champs électriques à l’échelle solaire et galactique grâce aux particules de plasma qui sont constamment libérées par le soleil et le noyau galactique.

Le plasma est le quatrième état de la matière (les trois premiers étant le solide, le liquide et le gaz) et comprend des protons, des neutrons, des électrons et des ions libres. Le plasma n’est pas électriquement neutre, mais c’est un supraconducteur qui peut transporter des charges électriques dans tout le système solaire et dans l’espace interstellaire et intergalactique.

Selon M. Goode, les sondes lancées dans les taches solaires ont montré que celles-ci contenaient des filaments de plasma en spirale (appelés proéminences solaires) qui s’étendaient de la surface du soleil jusqu’à son cœur. Cela va à l’encontre de la théorie scientifique dominante, selon laquelle les protubérances solaires ne forment qu’une boucle depuis la surface jusqu’à des centaines de milliers de kilomètres dans l’espace.

En outre, le noyau solaire est constitué de métaux tels que le magnésium et le sodium, plutôt que de gaz d’hydrogène et d’hélium qui, selon les scientifiques traditionnels, alimentent le processus de fusion nucléaire.

Le plus remarquable est que Goode affirme que le programme Solar Warden a confirmé que, dans les bonnes conditions, ces filaments solaires pourraient être utilisés comme des portes des étoiles ou des portails permettant à des civilisations extraterrestres d’entrer dans notre système solaire ou d’en sortir. Goode a décrit ce système de portes des étoiles solaires comme étant similaire à une vaste toile cosmique qui relie tous les soleils et toutes les galaxies, permettant de parcourir de vastes distances interstellaires et intergalactiques.

S’il a raison, cela suggère que parmi les milliers d’objets identifiés par les observateurs quittant ou entrant dans le soleil, selon les images extraites du Solar & Heliospheric Observatory et d’autres observatoires de l’espace solaire, certains n’étaient pas de simples anomalies de caméra, mais bien des vaisseaux spatiaux interstellaires. Un bon exemple est un grand OVNI sphérique connecté à un filament solaire observé par le Solar Dynamics Observatory quittant le voisinage du soleil le 11 mars 2012.

Goode a ensuite révélé qu’il existe un modèle mathématique hyperdimensionnel qui relie tous les soleils de notre galaxie et qui a été remis au programme Solar Warden par des extraterrestres. Il a ajouté que ce modèle mathématique utilise des motifs géométriques similaires aux solides de Platon à des fins de navigation. La discussion de Goode avec Wilcock sur la géométrie sacrée et son rôle fondamental dans les voyages spatiaux hyperdimensionnels vaut la peine d’être regardée.

Goode parle également des « nœuds » (portails naturels) que l’on trouve partout dans le monde, comme dans le triangle des Bermudes, et qui s’ouvrent et se ferment de manière imprévisible. Lorsqu’ils sont activés, ces nœuds peuvent transporter les navires et les avions qui s’y trouvent dans l’espace hyperdimensionnel vers n’importe quel endroit de la galaxie.

La discussion de Goode sur la nature du temps et de la conscience, telle qu’elle est comprise dans les programmes spatiaux clandestins, est révélatrice. Elle soulève la possibilité que les individus et les collectifs puissent redéfinir leur expérience du temps. Cet épisode de Cosmic Disclosure est un autre aperçu puissant du monde secret des programmes spatiaux et des connaissances et technologies stupéfiantes qu’ils possèdent.

Voici le lien ci-dessous de l’épisode en question (transcription) :