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Pourquoi l’ADN humain pourrait être le produit d’une autre intelligence

La raison de ma fascination pour l’ADN en tant que logiciel est que son origine est une anomalie sans explication crédible lorsqu’on la considère dans le contexte de la technologie moderne.

Jusqu’à présent, la seule expérience directe de l’esprit humain était celle de l’esprit humain – et elle était entièrement basée sur l’expérience personnelle et indirectement par la communication que nous semblons parfois partager à partir de nos expériences mentales anecdotiques ou de celles des autres.

Mais elles sont toujours de l’esprit humain.

Il n’y avait aucun moyen d’envisager l’idée de connaître directement un esprit autre que le sien – le « seul » avec toutes les histoires liées à son « identité ».

Mais maintenant que nous avons été capables de discerner la logique de l’ADN grâce aux logiciels – nous pouvons vraiment le voir pour ce qu’il doit être – le produit d’une autre intelligence.

Il n’y a qu’un seul langage de programmation dont nous ignorons l’origine – et c’est l’ADN.

En quoi l’ADN est-il un langage de programmation « organique » ? La vidéo TED du généticien Juan Enriquez nous informe que l’ADN se comporte exactement de la même manière que nos propres « disquettes » et logiciels informatiques.

Les symboles A, C, T et G représentés dans le séquençage représentent des produits chimiques, de sorte que les « calculs » ou « instructions » sont biochimiques et non dans une puce de silicium comme avec nos ordinateurs, mais le principe est identique.

Aujourd’hui, avec la nouvelle technologie d’édition CRISPR, non seulement nous pouvons copier et coller le code génétique, mais nous pouvons aussi le rechercher et le remplacer.

Il est intéressant de noter qu’avant sa mort, Michael Crichton, le brillant auteur de Jurassic Park et de Westworld, a mis en garde contre les dangers des sociétés brevetant les gènes – ou le code ADN.

Imaginez qu’une entreprise propose une séquence d’ADN permettant de stopper la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson, mais que vous deviez lui verser des redevances ?

Comme les programmes avec lesquels nous sommes familiers – Google, Apple, Microsoft et ainsi de suite, tout programme (codé) doit avoir une base mentale ou il ne pourrait pas être décodé.

Et dans le cas de l’ADN, maintenant avec CRISPR – édité et reprogrammé.

Pour avoir un sens qui peut être discerné, il doit être mental. Par définition, un modèle aléatoire n’a pas de sens. Toute signification est le produit évident d’une intention mentale.

En découvrant le programme de A, C, T et G derrière l’ADN, nous avons montré qu’il s’agissait d’un élément « créé par l’esprit » – tous les autres logiciels que nous connaissons sont intentionnels et basés sur un système logique – et n’ont pas pu apparaître par hasard.

En séquençant l’ADN, nous avons rencontré un produit mental différent du nôtre, et nous travaillons maintenant avec lui – mais qu’en est-il des implications ?

Tout d’abord, en ce qui concerne notre notion même de ce que représente l’esprit, pouvons-nous vraiment savoir que notre propre expérience mentale est « personnelle » et fondée sur notre propre « identité », ou est-il tout aussi probable que ce que nous ressentons comme un esprit n’est pas lié à nos cerveaux « personnels », mais est en fait omniprésent ou, au minimum, un aspect caché de la nature elle-même ?

En termes informatiques, une propriété ou une caractéristique ? Et que nos identités individuelles qui sont liées à des paquets de pensées en tant que souvenirs sont, comme le suggèrent de nombreuses traditions orientales, une illusion ?

Dans quelle direction pourrait s’orienter la recherche scientifique de l’esprit ?

Tout d’abord, elle reconnaîtrait que l’ADN est un langage de programmation organique.

Cela signifie qu’il doit être intentionnel – le produit d’une intelligence ayant un but précis. Dans le cas de l’ADN, il s’agit probablement de la survie et de l’évolution.

Voici un exemple de la puissance de notre propre programmation informatique et de la raison pour laquelle elle ne peut être aléatoire.

Imaginons que vous ayez une diapositive PowerPoint que vous souhaitez mettre en ligne sous forme d’image. Vous devez enregistrer cette diapositive en tant que fichier JPEG, car le langage de programmation du navigateur (HTML) ne reconnaît pas les fichiers PowerPoint, mais uniquement certains fichiers image, dont le JPEG.

C’est aussi spécifique et régi par des règles. Les lois doivent être respectées.

Les symboles doivent être disposés dans une séquence parfaitement logique pour transmettre le sens approprié – avec l’ADN, il peut y avoir des bugs que nous appelons mutations ou parfois des conditions graves, y compris le cancer.

Mais la « signification » de l’ADN peut être décodée – et cela s’appelle le séquençage.

J’examine plus en détail les rouages du logiciel et sa signification dans mon récent ouvrage intitulé « Si l’ADN est un logiciel, qui a écrit le code ? – La signification profonde du langage de programmation de la vie ».

J’ai été poussé à écrire ce livre et à faire des conférences sur ce sujet parce que j’ai une formation en philosophie, mais j’ai aussi appris un peu de programmation lorsque j’étais consultant en technologie. Cela m’a convaincu que l’aspect mental des origines de l’ADN n’était pas une métaphore mais bien réel, et m’a ouvert à une vision différente de l’intelligence et de la conscience, au-delà des croyances personnelles conditionnées que j’avais auparavant.

Source : https://thepulse.one/2022/05/17/why-human-dna-might-be-the-product-of-another-intelligence/

Traduction : https://exoconscience.com

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